Archives de catégorie : CFDT

Dernières heures du centre technique PS/ETW-Fr

C.F.D.T Bosch Saint-Ouen – Drancy, le 28/06/2024

Objet : Fermeture du Centre Technique PS/ETW-Fr et inquiétudes des Salariés PS sur leur avenir.

Aujourd’hui marque une étape très difficile et douloureuse pour tous nos collègues du département PS de Bosch Saint-Ouen avec la fermeture du Centre Technique PS/ETW-Fr. Cette décision, bien qu’annoncée en novembre 2023, n’en reste pas moins une source de grande inquiétude pour l’ensemble des 280 salariés de notre entité Powertrain Solutions toujours en activité.

La page se ferme pour les salariés du centre d’essais qui perdent leur emploi et vont bientôt recevoir leur lettre de licenciement. La fermeture de ce centre, qui a été un pilier de notre activité depuis plusieurs décennies, engendre une série de nouvelles difficultés auxquelles nous devrons faire face ensemble.

Parmi les préoccupations majeures, nous soulignons :

  1. Sécurité de l’emploi : La principale inquiétude concerne la sécurité des emplois du département PS. De nombreux salariés craignent des suppressions de postes ou des mutations forcées, ce qui génère une anxiété considérable quant à leur avenir professionnel. Plusieurs salariés ont exprimé leur choix de quitter l’entreprise.
  2. Conditions de travail : La réorganisation prévue pourrait entraîner des modifications importantes des conditions de travail. La crainte d’une augmentation de la charge de travail et de la pression sur les équipes restantes est palpable.
  3. Mobilité géographique : La fermeture du centre technique du site de Saint-Ouen va imposer à certains salariés une mobilité géographique non désirée, perturbant ainsi leur équilibre de vie personnel et familial.
  4. Maintien des compétences : La dispersion des équipes et le départ de nombreux collègues expérimentés engendre une perte significative de savoir-faire et de compétences techniques, essentielles à la survie du département PS.

 

Face à ces défis, nous, CFDT Bosch France, tenons à vous assurer de notre soutien indéfectible. Nous nous engageons à :

  • Accompagner chaque salarié dans cette période de transition, en fournissant des conseils personnalisés et en défendant vos intérêts lors des négociations avec la direction.
  • Faire valoir vos droits en matière de conditions de travail et de sécurité de l’emploi.
  • Promouvoir des solutions de reclassement internes et externes adaptées à chacun, afin de minimiser les impacts négatifs de cette réorganisation.

Nous vous invitons à participer activement aux prochaines réunions d’information et de dialogue social, où nous pourrons discuter de vos préoccupations et travailler ensemble à la recherche de solutions viables.

Restons solidaires et déterminés à surmonter ces épreuves. Votre implication et votre voix sont essentielles pour construire un avenir professionnel plus stable et serein.

Lors de ce dernier jour avant la fermeture, les salariés dénoncent vivement l’absence des managers, qui n’ont pas jugé nécessaire de soutenir leurs équipes en cette dernière journée décisive en privilégiant le télétravail. Cette attitude démontre un désintérêt flagrant et laissera en mémoire des salariés sacrifiés un dernier souvenir amer.

Tous mobilisés le 13 octobre 2023

Vendredi 13 Octobre 2023

Mobilisons-nous pour les salaires.
Le pouvoir d’achat et l’égalité professionnelle femmes / hommes :

RDV Place d’Italie à 13h30

La CFDT Île-de-France appelle l’ensemble de ses militants et adhérents à manifester pour les salaires, le pouvoir d’achat et l’égalité professionnelle.

En France, comme partout en Europe, l’inflation et le pouvoir d’achat sont la préoccupation n°1 des travailleurs et des travailleuses. C’est le sens de cette date commune avec nos voisins européens : montrer un monde du travail uni contre l’austérité et pour de meilleurs salaires et, faire entendre ses préoccupations.

Rentrée 2023

Cher·e·s collègues,

Voici quelques infos pour votre rentrée 2023 :

Nous espérons que vous avez passé d’agréables vacances et que vous êtes prêt·e·s à aborder cette nouvelle rentrée avec énergie et enthousiasme. En tant que section syndicale, nous souhaitons vous informer de certains points importants.

La question de la participation s’impose. 😎

La loi prévoit que, sans action de votre part, la totalité de votre participation sera bloquée, dont la moitié sur le PERCO ( (Plan d’Epargne pour la Retraite Collectif) où elle sera bloquée jusqu’à votre départ à la retraite. Si vous n’avez pas encore fait de choix concernant ces dispositifs, nous vous invitons à le faire dès que possible. Et ce avant le 14 sept. 2023 !

Votre participation à ces plans peut vous offrir des avantages fiscaux intéressants et contribuer à votre épargne à long terme.

Les fiches emplois

En septembre, les RHs mettront également en place une communication sur les fiches emplois. Il est essentiel de demander la cotation de votre poste à votre supérieur hiérarchique afin de faire le lien avec la nouvelle classification de la convention de la métallurgie. Cette étape est cruciale pour garantir que votre emploi est correctement évalué. Si vous constatez un problème ou si vous avez des interrogations à ce sujet, nous vous encourageons vivement à prendre contact avec nous. Nous sommes là pour vous accompagner et défendre vos intérêts.

Télétravail 💻

Un sondage a été envoyé par M. Piat vendredi 25 août. ⚠: considérez bien les Jeux Olympiques dans vos réponses ainsi que le montant alloué par jour de télétravail !!!

Réponse souhaitée avant le 22 septembre 2023.

Et si on parlait sport ?

En outre, nous vous informons que la salle de sport pourrait ouvrir à partir du mois d’octobre, si tout se déroule comme prévu… Cette initiative vise à favoriser votre bien-être et votre santé. L’accès à la salle de sport est accessible pour tou·te·s les adhérent·e·s. Vous avez également la possibilité d’y adhérer à la journée à la semaine, au mois, au trimestre, au semestre ou à l’année. Pour info, l’abonnement mensuel serait fixé à 12 €.  La participation du CSE reste à confirmer lors de la prochaine réunion CSE en septembre.

Votre section syndicale reste à votre disposition pour répondre à vos questions, résoudre les problèmes et vous accompagner dans vos démarches.

Nous vous souhaitons une excellente rentrée.

Contactez nous

Rejoignez nous.

Résultat du sondage du 03/11/22

Merci à tous et à toutes pour vos nombreux retours.
Pour ce sondage, nous avons eu un très bon retour au-delà des 30% de l’effectif de Drancy !

Pour la question sur les idées d’utilisation(s) des réserves du CSE votre choix s’est porté sur :

  • En 1er : La subvention pour les voyages personnels
  • En 2ème : Plus de chèques vacances et cartes cadeaux
  • En 3ème : Subvention au permis deux roues

Pour la question : « A la vue de la situation inflationniste, quelle valeur de revalorisation des salaires pensez-vous être juste ? »
 La moyenne de vos réponses a été : 7,31%

Un autre sondage vous sera proposé en vue des futures Négociations Annuelles sur les salaires (NAO)

Les négociations débuteront mi-Janvier 2023

Nous sommes vos représentants et nous comptons sur vous pour nous donner vos retours

Une équipe soudée, présente, active et à votre écoute

 

Future convention collective unique de la métallurgie

De nouveaux droits dans la future
CONVENTION COLLECTIVE UNIQUE DE LA METALLURGIE

La négociation négociation d’une convention collective nationale unique commencée il y a plus de 5 ans s’est conclue en décembre 2021. Fin janvier 2022, la CFDT prendra position sur la signature de ce texte applicable en 2024.

LES CLASSIFICATIONS

FAUX
La rémunération actuelle est garantie au passage dans le nouveau système.

FAUX
L’employeur ne pourra pas, tout comme aujourd’hui, modifier le coefficient du salarié sans son accord, pas plus que les éléments de son salaire.

VRAI
Comme c’est déjà le cas depuis l’accord de classification de 1975, c’est bien l’emploi réel qui est coté, il définit la classification du poste. Le coefficient n’est pas afférent à la personne qui tient l’emploi.

VRAI / FAUX
Les seuils d’accueil en vigueur aujourd’hui n’existeront plus. Pour autant, le diplôme et l’expérience professionnelle sont bien pris en compte dans le critère connaissance du système de cotation.

FAUX
Les principes de l’accord de 2002 sur le travail de nuit perdurent. Si le travail de nuit n’est pas prévu dans votre contrat initial, l’employeur doit obtenir votre accord écrit. S’il y figure, vous êtes en droit de le refuser si vous pouvez justifier d’une incompatibilité avec des obligations familiales impérieuses. Ce refus ne constitue ni une faute ni un motif de licenciement.

FAUX
Le maintien des quotas annuels actuels d’heures supplémentaires, soit 220 et 175 heures, est maintenu si votre décompte du temps de travail est annuel. Il n’y a pas non plus de remise en cause de la majoration des heures effectuées. À ces heures supplémentaires peut s’ajouter un quota de 80 heures activables tous les deux ans, alors les heures effectuées sont majorées de 25 points.

LES RELATIONS DU TRAVAIL

FAUX
La nouvelle convention collective harmonise les congés d’ancienneté Cadre et Non-Cadre. En fonction de leur âge et de leur ancienneté, les salariés pourront toujours obtenir jusqu’à 4 jours de congés supplémentaires. Le premier jour est acquis dès 2 ans d’ancienneté au lieu de 10 ans actuellement. Sur une carrière complète, le nombre de jours obtenus sera supérieur pour les salariés qui auront eu des mobilités. Les congés déjà acquis resteront attachés aux salariés déjà couverts par la convention collective.

VRAI / FAUX
Cette disposition est prévue aujourd’hui dans la convention collective des ingénieurs et cadres, rien n’est écrit pour les non-cadres, l’employeur peut l’imposer sur le contrat de travail. Avec la nouvelle convention collective, la mobilité sera encadrée pour tous les salariés avec l’impossibilité de l’imposer aux six premiers coefficients de la grille de classification.

VRAI / FAUX
Un salarié en arrêt maladie ne peut être licencié que dans le cas où son absence entraîne une perturbation grave du fonctionnement de l’entreprise, nécessitant un remplacement définitif dans un délai raisonnable. Dans ce cas l’indemnité de licenciement conventionnelle sera majorée de 50%.

LA PROTECTION SOCIALE

VRAI
Il existe une obligation de l’employeur de maintenir le salaire à 100% pendant une période variant en fonction de l’ancienneté. Cette période sera doublée pour les non-cadres. Au-delà, tous les salariés bénéficieront d’une couverture des risques incapacité(maladie), invalidité ou décès.

FAUX
La CFDT en avait fait une ligne rouge. Dès le premier jour d’arrêt de travail, les salariés continueront à être indemnisés à 100%.

VRAI
Une grille de salaire minimum annuel nationale et unique a été définie, elle fera l’objet d’une négociation annuelle nationale. La grille des salaires minima arrêtée permet une revalorisation de salaire pour les trois quarts des salariés concernés par les minima hiérarchiques.

FAUX
Pour la CFDT, le maintien de la prime d’ancienneté était une condition impérative de la poursuite de la négociation. Son maintien est acté, la valeur du point servant au calcul de la prime continuera à être négociée au niveau territorial.

FAUX
L’ensemble des avantages territoriaux qui n’ont pas été traités au niveau national restent de l’ordre de la négociation territoriale. Des négociations doivent s’ouvrir dans les territoires dès janvier 2022.

FAUX
Cette prime d’équipe de niveaux divers et non présente dans toutes les conventions collectives territoriales sera harmonisée sur l’ensemble du territoire. 30 minutes de temps de pause seront payées pour tous les salariés travaillant en équipe. C’est une amélioration pour plus de 40 % des salarié si mpactés.

Portabilité mutuelle pour les retraités

Le 17 novembre 2021

s’est tenue à St Ouen la réunion annuelle de bilan des systèmes de santé (Mutuelle et Prévoyance) des salariés(es) du Groupe Robert BOSCH France.

Quand la portabilité devient insupportable ! »
Futurs retraités(es), préretraités(es) et retraités(es), cette information peut vous intéresser.
reposer

Lors de cette réunion (et en amont de celle-ci), la C.F.D.T est intervenue afin de clarifier et surtout d’améliorer la couverture santé des retraités du Groupe.

En effet la C.F.D.T a fait un constat qui est validé par la mutuelle AESIO (ex ADREA) :

Très majoritairement (pour ne pas dire dans la quasi-généralité) les retraités choisissent dans un 1er temps de conserver leur niveau de prestations (très élevé) offert dans le régime des actifs grâce au dispositif de la Loi EVIN…
Mais, certains en sortent au bout d’une, deux ou de 3 années pour des questions de coûts et optent pour une autre mutuelle !!!

En effet, conserver le niveau des prestations du contrat des actifs dans le cadre du dispositif Loi Evin présente un coût important pour les retraités et ce dernier devient rapidement rédhibitoire : maintien des cotisations la 1ere année (perte de la participation patronale), + 25 % la seconde année et + 50 % la troisième année.
Pour un actif avec un pension nette d’environ 1900 €uros cela équivaut à une cotisation familiale de 151.66€ la première année pour un couple, puis189.58 € et enfin 227.49 € la 3ème année.

Dans ces conditions et c’est logique, « le dispositif Loi Evin devient vite insupportable » et les retraités progressivement quittent la mutuelle d’entreprise pour aller chercher moins chère ailleurs !!!
Il existe pourtant une solution plus adaptée qui a été négociée et validée par les partenaires sociaux, la Direction Générale de R.B.F.R et la mutuelle AESIO : Il s’agit du contrat « d’accueil alternatif » réservé aux retraités BOSCH !

Ce contrat d’accueil est dépouillé des prestations devenues obsolètes pour les retraités mais réduit aussi sensiblement les remboursements.
En revanche, le rapport qualité/prix de ce contrat spécial retraités reste attractif au regard de ce qui peut être proposé par les autres mutuelles.
(En 2021 : 71.41 € par adulte couvert soit 142.82 € pour un couple).
Cool, plus de tension…
juste + de pension !
Surtout, en étant rattaché au contrat des actifs, les augmentations annuelles du contrat
D’accueil alternatif sont modérées car alignées sur le 1er.
Elles sont donc sous le contrôle des représentants du personnel des différents sites BOSCH
en France et le contenu du contrat peut éventuellement être discuté par la représentation
salariale.

Alors pourquoi donc si peu de retraités demandent-ils à entrer dans ce contrat ?
Tous simplement parce qu’ils ne connaissent pas son existence et que personne
ne leur propose d’y adhérer !!!

En raison de la multiplication des Plans sociaux dans l’entreprise et de l’extension des
départs en pré-retraites, un très grand nombre de salariés(es) quittent leurs emplois bien
avant l’âge légal de la retraite.
Au moment de leur départ en pré-retraite, soit ils ne reçoivent pas l’information de
l’existence de ce contrat alternatif, soit progressivement ils auront oublié son existence au
moment de leur passage effectif dans la retraite.
Il y a là assurément un déficit d’informations des différents services RH de l’entreprise qui
devrait systématiquement et beaucoup plus généreusement communiquer sur la future
couverture santé des retraités.
Ce déficit d’information est amplifié par la méconnaissance des interlocuteurs eux-mêmes
de la mutuelle AESIO qui, lorsqu’ils sont questionnés à ce sujet par les salariés qui voudraient
trouver une couverture moins onéreuse, sont dans la plupart du temps dans la
méconnaissance de l’existence de ce contrat d’accueil alternatif retraités BOSCH.

Après de multiples interventions menées conjointement auprès de la Direction Générale de R.B.F.R et des représentants de la mutuelle AESIO, cette situation devrait évoluer dans un sens positif.

La C.F.D.T souligne la bonne coopération de nos interlocuteurs qui s’engagent à ce que le
processus d’informations des collègues qui entrent officiellement en retraite soit plus
efficient et les équipes d’AESIO seront plus largement informées de l’existence de contrat
d’accueil alternatif retraités BOSCH.
La C.F.D.T ayant également son rôle à jouer dans l’information des salariés voici ce qu’il
faut savoir.
Au moment du départ en retraite, le salarié a le choix :
– Soit conserver le régime des actifs et son niveau de couverture sociale
(très élevé) dans le cadre de la Loi EVIN mais il devra progressivement
en supporter seul le coût au bout de 3 ans civiles pleine.
– Soit adhérer au régime d’accueil facultatif des retraités avec un coût
bien moindre mais un niveau de remboursements plus faible.
Dans le 1er cas, la majoration des cotisations s’opère sur 3 ans et s’applique en années
civiles complètes au 1er janvier.
C’est-à-dire que pour un départ en cours d’année, la majoration de l’année 1 s’appliquent pour l’année en cours + l’année civile suivante.
Exemple : pour un départ à la retraite le 1er mai 2019, la cotisation de l’année 1 s’appliquera jusqu’au 31 décembre 2020. Celles de l’année 2 en 2021 et les cotisations de la 3ème année s’appliqueront à compter du 1er janvier 2022.
A noter qu’il n’est pas prévu pour le moment y a plus, de majoration de cotisation au-delà de cette 3ème année sauf l’augmentation annuelle classique commune au régime des actifs et retraités (+0,6% pour 2022).
Au regard des coûts (voir plus haut) il semble intéressant de conserver le bénéfice de la Loi EVIN durant la 1ère période (surtout si cette dernière excède un an en fonction de la date de départ en retraite).
Dans l’exemple cité plus haut pour un couple la cotisation Loi EVIN serait de 155 €uros 151.66 € pour une couverture optimale au lieu de142.82 € dans le régime d’accueil alternatif retraité.
A partir de la 2ème étape la question de l’adhésion a ce dernier régime est posé et prend toute sa pertinence à l’orée de la 3ème étape de hausse des cotisations.
Le retraité qui opte pour la portabilité de la Loi EVIN a la possibilité de résilier son adhésion au dispositif Evin à tout moment d’année dans le cadre de la Résiliation Infra-Annuelle.
La résiliation sera effective sous un délai d’un mois à réception de votre demande.
Simultanément et sans rupture de la protection, vous pouvez adhérer au régime d’accueil alternatif, sous réserve que cette adhésion soit consécutive à la résiliation de votre maintien Evin.
ATTENTION si vous quitter le dispositif de la Loi EVIN pour une autre mutuelle, il ne vous sera plus possible de revenir dans le régime d’accueil alternatif des retraités.
En cas de soins longs engagés pendant la période de transition c’est-à-dire un début des soins engagés sous la couverture EVIN et achèvement des soins dans le régime d’accueil alternatif
Exemple : travaux dentaire, optique… pris en charge par la sécurité sociale, la date prise en compte pour le remboursement est la date des soins communiquée par la Sécurité sociale (En règle générale, c’est la date de début de soins qui est communiquée par la Sécurité sociale). Le remboursement se fera donc dans le cadre de loi couverture EVIN.
S’il s’agit de travaux non pris en charge par la Sécurité sociale, la date prise en compte sera la date de facturation et donc le remboursement sera celui prévu dans le contrat d’accueil alternatif.

Vous pouvez demander aux services RH ou aux interlocuteurs de la mutuelle AESIO un comparatif des prestations offertes par le contrat des garanties offertes par le régime du maintien dans le cadre de la Loi EVIN et celles prévues dans le contrat d’accueil alternatif destinés aux retraités BOSCH.
En cas de difficultés, les équipes C.F.D.T des différents sites du Groupe sont à votre disposition.

En cette période des fêtes l’équipe CFDT vous souhaite de passer de très belles fêtes. Nous vous souhaitons de très joyeuses fêtes de fin d’année et nous vous envoyons nos meilleurs voeux de bonheur et de succès pour 2022.

Bosch France, Signature d’un accord sur l’activité partielle

L’accord unanimement signé par les syndicats (CFDT, CGT, CFE-CGC, FO, Sud) le 17 juillet 2020 est un des premiers à poser le cadre pour le recours au tout nouveau dispositif d’activité partielle longue durée qui vise à permettre aux entreprises de réduire leur activité sur une longue période tout en bénéficiant, si elles négocient un accord et s’engagent à préserver l’emploi, d’une subvention salariale plus favorable. Il prévoit un maintien de la rémunération nette de 90% (contre 70% pour le dispositif légal) et neutralise les effets de la réduction d’activité sur les RTT/congés et primes diverses.