Archives de catégorie : Mondeville

Vieillissement, inactivité et inquiétudes : quel avenir pour les salariés des sites industriels Bosch en France ?

Bosch déploie des moyens illimités pour limiter les effectifs !

Alors que Bosch Allemagne annonce une réduction drastique de ses effectifs avec 13 000 suppressions de postes et 2,5 milliards d’euros d’économies par an, les salariés français des sites industriels vivent une situation paradoxale : moins nombreux, plus âgés, et de plus en plus inquiets.

Le dernier rapport de politique sociale de Bosch France (RBFR) révèle une baisse historique de l’emploi en 2024, avec seulement 126 recrutements, soit le niveau le plus faible depuis 10 ans. En parallèle, le taux d’inactivité explose, atteignant 523 salariés inactifs, principalement en préretraite sur les sites de Rodez et Mondeville. Ces salariés, bien que toujours comptabilisés dans les effectifs, ne participent plus à l’activité industrielle.

La pyramide des âges est sans appel : plus de 28 % des salariés ont plus de 55 ans, et 75 % des effectifs de plus de 55 ans sont concentrés dans les usines. Le renouvellement générationnel est en panne, avec moins de 10 % de salariés de moins de 30 ans hors alternants.

Face à cette situation, les salariés actifs s’interrogent : Bosch investit massivement dans des dispositifs de départ, mais quelles sont les perspectives pour ceux qui restent ? L’entreprise semble consacrer des centaines de millions d’euros à la destruction de l’emploi, sans stratégie claire pour l’avenir industriel des sites français.

La CFDT alerte : le vieillissement des effectifs, l’absence de recrutement pérenne, et la montée des inquiétudes sur les sites encore actifs du périmètre RBFR doivent être pris au sérieux. Il est urgent que Bosch France engage un dialogue transparent sur ses intentions, et surtout, qu’elle investisse dans l’avenir de ses salariés et de ses sites.

 

Les corbeaux rejoignent la maison mère

Bosch, la soif d'exister

Bosch, La soif d'exister
Bosch, La soif d'exister

Bosch annonce 13 000 suppressions de postes en Allemagne : quel impact pour la France ?

Saint-Ouen, le 25 septembre 2025

Le groupe Bosch a annoncé ce jeudi une nouvelle vague de suppressions de postes massives en Allemagne : 13 000 emplois seront supprimés dans les prochaines années, principalement dans la région de Stuttgart. Les sites de FeuerbachSchwieberdingen et Waiblingen sont particulièrement touchés, avec notamment la fermeture complète de la production de ce dernier et la suppression de 3 500 postes à Feuerbach.

Cette décision s’inscrit dans un plan d’économies renforcé, motivé par :

  • Une conjoncture mondiale défavorable,
  • Des investissements lourds dans les nouvelles technologies,
  • Un démarrage de la mobilité électrique et de l’hydrogène qui n’ont pas fait leur preuves,
  • Une pression concurrentielle accrue, notamment en provenance de Chine.

Le directeur des ressources humaines de Bosch, Stefan Grosch, a déclaré : « Nous devons impérativement renforcer notre compétitivité dans le secteur de la mobilité et réduire durablement nos coûts. Pour cela, nous activons de nombreux leviers. Malheureusement, cela implique aussi une nouvelle réduction d’effectifs au-delà de ce qui avait déjà été annoncé . Cela nous fait beaucoup de peine, mais il n’y a malheureusement pas d’autre solution. ».

Les organisations syndicales avaient déjà alerté la direction à ce sujet, en soulignant la nécessité de soutenir l’emploi chez Bosch en France et d’anticiper les conséquences d’une stratégie industrielle qui mène aujourd’hui à un désastre mondial, tant sur le plan de l’emploi que sur le plan social.

La CFDT Bosch France tient à exprimer toute sa solidarité et son soutien aux salariés de Bosch Allemagne confrontés à une situation particulièrement difficile et douloureuse.

Les salariés de Bosch, qu’ils soient en France, en Allemagne ou ailleurs, forment une communauté de travail unie par des valeurs fortes : le respect, la compétence, l’engagement. Face à ce tsunami, nous devons plus que jamais faire preuve de solidarité transnationale, et porter ensemble la voix des travailleurs auprès de la direction du groupe.

Manifestation du 18 septembre 2025

Lieux / Horaires :

Paris : 14h00 Opéra Bastille, ballon du SYMEF
Lyon : 11h00 Manufacture des Tabacs
Caen : 11h00 place saint Pierre 

Depuis le 15 juillet, nous, travailleurs et travailleuses, représentantes
et représentants des travailleurs, SOMMES EN COLÈRE !
La France est dans une grave situation budgétaire,
mais nous, salarié.es, agentes et agents, retraité.es, demandeurs
et demandeuses d’emploi, n’en sommes pas les responsables.

NOUS REFUSONS :

  • La suppression des 2 jours fériés ;
  • Le gel des pensions et des prestations sociales ;
  • Une nouvelle flexibilisation de nos conditions de travail ;
  • Le raccourcissement des délais de saisine des prud’hommes ;
  • Le déremboursement d’une partie des médicaments ;
  • Une nouvelle réforme délétère de l’assurance chômage ;
  • La mise en place d’une pseudo TVA « sociale » ;
  • La généralisation de la monétisation la 5e semaine de congés.

Face au niveau de la dette, des efforts doivent être faits mais ils
doivent être partagés et mieux répartis. Les grandes entreprises
et les ménages les plus aisés doivent être mis à contribution !

NOUS VOULONS :

  • Des moyens à hauteur des missions des services publics
    et des politiques publiques ;
  • Des mesures pour lutter contre la précarité et renforcer la solidarité ;
  • Des investissements dans une transition écologique juste
    et la réindustrialisation de la France et des mesures contre
    les licenciements ;
  • La justice fiscale, avec la mise en place de dispositifs qui taxent les
    gros patrimoines et les très hauts revenus, contraignent le versement
    des dividendes et conditionnent fortement les aides aux entreprises ;
    • une protection sociale de haut niveau et l’abandon de la retraite
    à 64 ans.

MOBILISONS-NOUS MASSIVEMENT LE 18 SEPTEMBRE !

Partout en France, sur tous les territoires, dans toutes les entreprises
et les administrations ! RDV tous et toutes dans la rue pour faire
entendre notre colère et revendiquer des mesures plus justes !

Signez la pétition : stopbudgetbayrou.fr

Cette année, les corbeaux débarquent en France avec un peu d’avance

Démontage du bâtiment après le PSE,

Suite à notre article du 16 mai dernier intitulé « Des corbeaux noirs planent au-dessus des sites Bosch », nous devons aujourd’hui constater que ces sombres présages se concrétisent plus vite que prévu, notamment en France.

Après trois années de négociations intenses et plus de 50 réunions du CSE Central, la CFDT et l’ensemble des Organisations Syndicales représentatives sont parvenues à un accord relatif à la fermeture du site de Mondeville.

Cet accord, fruit d’un travail acharné et d’une vigilance constante, a été soumis à la consultation des salariés du site. Le résultat est à la fois clair et édifiant : 95,6 % des salariés ont validé l’accord, avec seulement 14 voix contre ! Une adhésion massive, qui montre à quel point les salariés ont été impliqués, informés et conscients des enjeux, tout en reconnaissant le travail syndical accompli.

« Même avec un accord, la fermeture reste une blessure. Mais nous avons assuré au maximum les garanties sociales, la requalification professionnelle et un accompagnement digne pour chaque salarié. »

La CFDT tient à saluer la responsabilité des salariés et leur lucidité face à une situation imposée par une stratégie de groupe qui sacrifie les sites historiques, compétents, mais jugés non rentables ou non stratégiques.

« Les corbeaux noirs ne sont plus à nos frontières : ils sont désormais sur nos toits. »

La CFDT poursuivra son engagement aux côtés des salariés pour garantir que chaque promesse prises dans cet accord soit tenues et que personne ne soit laissé pour compte. La commission de suivi permettra de régler les nombreuses situations individuelles qui se présenteront aux salariés.

Rodez : un nouveau coup dur à venir

À peine l’encre du stylo a-t-elle eu le temps de sécher sur l’accord du Plan Social de la fermeture du site de Mondeville que la direction Bosch convoque déjà les organisations syndicales début juin 2025 sur le site de Rodez. Un nouveau Plan Social est en préparation, visant une nouvelle réduction des effectifs. Ce plan viendrait se substituer à l’accord du 9 décembre 2021, pourtant présenté à l’époque comme un engagement de la direction pour protéger nos collègues de Rodez jusqu’en 2028.

Ce retournement brutal de la direction interroge une nouvelle fois sur la fiabilité de sa parole et sa stratégie à long terme. La CFDT exige des explications claires et appelle à une mobilisation forte pour défendre l’emploi et la dignité des salariés de Rodez.

Quelle est la place des sites industriels Bosch en France dans l’échiquier du groupe ?

Un message pour nos dirigeants :
La Cfdt demande à Messieurs Gahery, PDG Bosch France Bénélux et M. Piat, DRH Bosch France Bénélux d’apporter et de confirmer des réponses qui seront en accord avec les intentions portées lors de leur prises de postes à savoir : La défense de l’emploi sur les sites Bosch encore ouverts du groupe en France.

« Combien de sites devront encore tomber avant que Bosch n’assume ses responsabilités industrielles et sociales ? »

Les Hommes s’en vont (malgré eux), les sites se vident, les corbeaux nichent là où l’industrie rend l’âme.

Le corbeau surveille le bon déroulement du PSE

A qui le tour ?

Point de situation des sites Bosch en France

L’avenir industriel des sites Bosch en France reste incertain, et les inquiétudes des salariés grandissent face aux restructurations successives. La CFDT dénonce la fragilisation de plusieurs sites et appelle la direction à prendre des engagements clairs pour assurer leur pérennité. Il est essentiel de garantir des volumes de production et de nouvelles perspectives afin de maintenir l’emploi et les compétences sur chaque site.

Rodez

Bosch s’était engagé en 2021 à maintenir l’activité de Rodez avec un effectif réduit à 513 salariés, mais la nouvelle annonce d’une baisse à 350 ETP d’ici 2030 remet en cause cet engagement. La CFDT alerte sur le risque de disparition progressive du site et appelle la direction à garantir des volumes de production et à lever les freins à la compétitivité pour maintenir durablement l’activité.

Saint-Ouen – Drancy / Grand Paris

La fermeture définitive du centre d’essais le 30 septembre 2024 a conduit au reclassement interne de 5 salariés sur les 25 du département PS/ETW-Fr. Une commission de suivi continue d’accompagner les victimes du PSE qui n’ont pas retrouvé de poste. Par ailleurs, les locaux du So111 sont en cours de démolition pour accueillir de nouvelles installations en plus de la salle de sport (CSE, auditorium, cafétéria, locaux syndicaux et vestiaires). La question de l’espace disponible à Saint-Ouen pour accueillir les salariés de Drancy reste en suspens.

Vénissieux

Le site poursuit son activité avec des projets liés au diesel et une équipe dédiée à la recherche de nouvelles opportunités. Par ailleurs, plusieurs salariés ont été détachés sur d’autres sites : deux à Drancy et un à Moulins.

Mondeville

Les discussions sur le PSE lié à la fermeture du site se poursuivent avec la 9ᵉ réunion sur les 14 prévues. La fermeture de la partie production, initialement prévue pour juin 2026, pourrait être avancée à juin 2025, impactant l’ensemble des salariés.

Vente_exceptionnelle
mondeville_Bosch

Moulins

Les volumes de production sont maintenus pour l’instant. La CFDT espère une décision de la direction pour assurer l’avenir du site au-delà de 2026.

NAO (Négociations annuelles obligatoires)

Une revalorisation salariale globale de 2,3% a été proposée par la direction :
1,8% d’augmentation générale  et 0,5% d’augmentation individuelle
Prime de 600 € viendra compléter l’intéressement.

📢 AVIS DE LA CFDT : BOSCH FRANCE FACE À UN DÉFI MAJEUR !

L’Allemagne impose à Bosch France de rapatrier un maximum d’activités sur son territoire et vers les pays à bas coûts. 🚨

Comment Bosch France compte-t-elle faire pour relever ce défi ?
➡️ Moins d’emplois, mais plus d’attractivité ?
➡️ Réduction des effectifs, mais maintien des activités ?
➡️ Des directives à suivre, mais quel avenir pour nos sites et nos emplois ?

La CFDT exige des réponses claires et des garanties pour l’avenir des salariés. ✊

📣 Salariés de Bosch France, restons mobilisés pour défendre nos emplois et nos compétences !

 Vos élus CFDT vous proposent de participer à une étude confidentielle sur le stress en milieu professionnel : Cliquer sur le bouton pour participer. Cette étude est réservée aux salariés Bosch France.

Bye Bye Heiko

Contribution dialogue (ex GPD) par les OS

Mr Heiko Carrié, vous quitterez vos fonctions le 30 juin.
Tous les salariés exprimeront des regrets, mais certainement pas pour les mêmes raisons ! Alors posons ensemble l’impact de ce mandat d’une décennie :

Votre bilan :

De votre mandat, M. Carrié vous laisserez quelques traces visibles à Saint-Ouen :

  •  Un « Campus » flambant neuf, un beau restaurant d’entreprise où nous pouvons méditer sur notre avenir avec un café, en espérant qu’il ne soit pas aussi amer que la situation dans laquelle vous nous laissez.
  • Une salle de sport dernier cri ou les bancs moteurs ont laissé place aux bancs de musculation pour que nous puissions nous défouler après des journées de travail marquées par l’incertitude.

Les oubliés

Pendant ce temps, les autres sites de Bosch en France n’ont pas eu cette chance. À Vénissieux (votre premier PSE), Meyreuil, Freyming Merlebach, Rodez, Mondeville, Marignier et bien d’autres Vendôme, Elm Leblanc : Drancy, Saint-Thégonnec, Haguenau, La ferté Bernard, Cergy, Le bureau d’étude de Vénissieux, Rexroth….
L’avenir reste aussi incertain qu’un ciel orageux. Les suppressions d’emplois et les fermetures de sites semblent être les seules annonces qui percent le brouillard.

L’ambition 20-20 : un mirage jamais atteint

Sous votre direction, l’ambitieux objectif 20-20, censé transformer et revitaliser nos activités, n’a jamais été réalisé. Les promesses d’innovation et de croissance durable se sont évaporées, laissant place à des fermetures et des restructurations.
Si l’objectif de l’Allemagne était de réduire les effectifs, vous avez pleinement contribué sans sourciller à cet objectif et les organisations syndicales vous attribuent la note de 20 sur 20 !
Doit-on vraiment vous remercier pour la gestion foncière de nos activités ?
Alors, que reste-t-il à dire ? Les petits déjeuner « Hello Heiko » cèdent place à Bye Bye Heiko. Nous voulons maintenant de votre successeur une vision pour l’avenir de tous plutôt qu’une gestion des bâtiments et qu’il s’attaque aux vrais défis industriels et sociaux : garantir un avenir stable et prospère pour tous les salariés de Bosch en France ainsi que pour leurs familles.
Bilan de compétence
Vous êtes tout à fait prêt pour votre reconversion en agent immobilier au sein de l’équipe de Stéphane Plaza

Les OS de BOSCH en France

Primes, NAO et PSE…

NAO :

Pas de surprise, comme convenu en 2023, l’augmentation générale de 4% sera effective à partir de la fiche de paye de février 2024. « On avait prévu une clause de revoyure … on s’est revu donc voilà ! »

Prime BPB :

BPB chiffre à fin nov 2023 note selon le département sur 2 :

RBW

PS

XC

AS

C

CC

AE

ED

BBM

AA

ETAS

ED

BEG

PT

1

0.3

0

0.6

1.1

2

1.1

1.1

0.9

2

2

1.6

1.6

0.6

Prime de participation : Environ 900€ versée après clôture des comptes

Prime d’intéressement : Les chiffres de mi-novembre donnent un indice de 105 soit 1750 € à ce jour

Mutuelle : Augmentation Mutuelle AESIO de 8%  répartis en 6% à la charge de Bosch et 2% à la charge salariés.

Augmentation de la tarification du restaurant collectif à partir de février 2024

Depuis la fin du COVID, et avec l’augmentation du taux de télétravail, la fréquentation des restaurants d’entreprise API est restée insuffisante. La direction Bosch a confirmé la proposition d’augmentation tarifaire de 5 % répartis à moitié pour l’employeur (Admission) et à moitié pour le salarié.

Prochaine Commission restaurant de Saint Ouen le 7 février 2024 à 15 heures merci de poser vos questions, de donner votre avis, vos idées à rbfr-so.cfdt@fr.bosch.com puis nous les relayerons.

Plan Social PS/ETW-Fr : Le département des essais va fermer définitivement.

 

Selon la direction Bosch France et Allemagne, la technologie hydrogène n’est pas mature. On doit fermer le centre d’essais Bosch Saint-Ouen !

Dans un même temps, Bosch annonce au CES 2024 de Las Vegas l’arrivée de son moteur à hydrogène en 2024 !

Alors pourquoi supprimer le premier banc moteur hydrogène de Bosch Paris ?

Démarrage des réunions PSE 30 janvier 2024 (R0)

Suppression de 30 emplois !

25 salariés concernés sur les 25 que compte le département ! et 5 salariés du département application !

 

Présentation de l’aspect social, économique du Plan de Sauvegarde de l’Emploi du centre technique de Saint-Ouen PS/ETW-FR (Livre I, Livre II, Livre IV).

Un retour sera proposé en Assemblée Générale le 16 février au matin sur le site de Saint Ouen juste après la seconde réunion (R1).

Application de la nouvelle Convention collective :

Seulement 3% des salariés ont demandé des explication suite à la mise en place de la nouvelle convention collective.

Risque de démotivation des managers :

Exemple SL1 anciennement cadre 3 Teamleader classé de façon identique à ses chefs de produits.

Un ancien cadre 3 classé maintenant F12

15% BPB maintenu sauf si changement de poste vers une classification inférieure et passage du BPB à 10 % soit une perte de 5% !

300 SL1 sont passés F12 ! Ils n’ont aucun intérêt à changer de poste.

89 G13 ! En cas de prise de poste F12 ce sera une régression.

FCM : Pour faire suite à la nomination d’Atalian comme prestataire Unique pour tout Bosch France, nous sommes stupéfaits des faits relayés dans la presse ces derniers jours :
Selon le Figaro : « De la découverte de liasses de billets dans un sèche-linge à celle de dysfonctionnements «systémiques»: le propriétaire du géant du service aux entreprises Atalian, Franck Julien, sera jugé à partir du 22 janvier, soupçonné d’avoir détourné environ 36 millions d’euros entre 2008 et 2019. Lors d’une audience se mise en l’état lundi, la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris a fixé le procès sur trois demi-journées par semaine jusqu’au 12 mars. »

Espérons que les liasses de billets ne soient pas cachées dans un sèche-linge Bosch !
On peut constater sur leur site internet leur volonté d’agir de façon éthique et intègre. Atalian a mis en place une plateforme de recueil d’alerte éthique : https://fr.ethicslineatalian.com ainsi qu’une ligne d’alerte pour la France : 0805-080339 et c’est plutôt rassurant.

 

Bonne année 2024

Chers collègues,

En cette nouvelle année, toute l’équipe de la CFDT Bosch France tient à vous présenter ses vœux les plus chaleureux. Que cette année 2024 soit synonyme de réussite, de prospérité et de solidarité pour chacun d’entre vous.

L’année qui vient de s’écouler a été riche en défis et en réalisations. Grâce à notre collaboration et à votre soutien, nous avons pu faire entendre notre voix collective et œuvrer pour le bien-être et les droits des travailleurs. Les moments difficiles renforcent notre détermination, et c’est ensemble que nous relevons les défis qui se présentent à nous.

Nous sommes fiers de faire partie d’une organisation syndicale unie, où la solidarité et le respect mutuel sont les piliers de notre action. En 2024, continuons à travailler main dans la main pour défendre les droits des salariés, promouvoir l’amélioration des conditions de travail et contribuer à un environnement professionnel épanouissant pour tous.

Que cette nouvelle année soit synonyme de réussite individuelle et collective. Nous souhaitons maintenir un dialogue social fort et promouvoir des valeurs telles que l’équité, la justice et le respect dans notre environnement professionnel.

Ensemble, nous sommes une force qui peut surmonter tous les obstacles et créer un avenir meilleur.

Meilleurs vœux à toutes et à tous pour une année 2024 prospère, épanouissante et empreinte de réussites pour vous et vos proches.

En toute solidarité,

La section syndicale CFDT Bosch France

« Tout est possible à qui rêve, ose,
travaille et n’abandonne jamais »

Joyeuses fêtes de fin d’année 2023

Que vous soyez en mode vacances ou dans le tourbillon du quotidien, que vous soyez fan des festivités ou que vous préfériez une soirée tranquille , nous vous souhaitons des fêtes pleines de joie et une fin d’année étincelante 🌟

❤🤝Commission de solidarité : nous tenons à rappeler l’existence de cette Commission que vous pouvez solliciter en cas de besoins. Votre bien-être est leur priorité, et cette commission est là pour vous soutenir. Informations ici.

Rappel Meyclub 300 € : nous vous rappelons qu’il ne reste plus que quelques jours pour profiter de votre subvention de 300 € sur Meyclub. Pour gagner du temps, envisagez de convertir ces avantages en chèques Cultura, avec un exemple concret : 200 € de Cultura au coût de 50 € pour vous, et une subvention de 150 €.

🎁Cadeaux de Noël 2023 : si vous n’avez pas encore récupéré vos cadeaux de Noël, n’hésitez pas à contacter le CSE. Ils sont là pour vous assister.

💳Carte UP ONE

Pensez à activer votre carte UP ONE, votre carte-cadeau « culture » disponible en version physique ou virtuelle grâce à leur application dédiée, téléchargeable sur les stores (Apple ou Google Play).

Pour celles et ceux qui rencontrent des difficultés d’activation de leur carte UP ONE, un guide détaillé est disponible ici.

💰NAO 2023 : nous vous informons que les négociations annuelles obligatoires (NAO) sont en cours. Nous travaillons activement pour garantir un résultat favorable, visant un minimum de 4 % d’augmentation salariale. La première réunion de NAO s’est tenue le 19 décembre 2023. Le chef d’établissement s’en tient à 4% d’augmentation comme convenu lors des NAO 2022. Les 8 % d’augmentation de la mutuelle seront répartis pour tous les salariés (actifs et inactifs) en 6% à la charge de Bosch et 2 % à la charge du salarié. Prochaine réunion de NAO prévue le 25 janvier 2024.

💳Chèques vacances : Les commande des chèques vacances ANCV et Chèques CESU seront ouvertes à compter du 1er janvier 2024 sur le site https://www.cseboschso.fr Possibilité de payer la part salarié avec la carte Up One recue fin 2023 !

1er janvier 2024 : application de la nouvelle convention collective de la métallurgie

1ER JANVIER 2024

LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DE
LA MÉTALLURGIE PREND SON PLEIN EFFET

Signée en février 2022, cette nouvelle convention collective applicable au 1er janvier 2024 met fin aux 78 conventions collectives territoriales et sectorielles.

Elle met en place des droits identiques pour toutes et tous sur l’ensemble du territoire.

Elle ouvre des droits nouveaux non dérogeables :

  • Un maintien à 100 % de la rémunération nette en cas d’absence maladie
    jusqu’à 180 jours. C’est une avancée pour près d’un million de salariés.
  • Un maintien partiel de la rémunération au-delà de ces 180 jours, un
    capital décès ou encore une rente en cas d’invalidité permanente pour
    tous les salariés de la métallurgie depuis le 1er janvier 2023.
  • Une grille de salaires minima unique qui améliore les minis actuellement
    applicables pour 80 % des salariés concernés.
  • La révision de la classification et des coefficients associés.

C’est un élément important, il est nécessaire de la vérifier, de s’assurer qu’elle comporte :

  • L’intitulé de l’emploi !
  • La finalité de l’emploi !
  • Les activités significatives de l’emploi même si ces activités ne
    représentent qu’une part minime de votre temps de travail !

Il est important aussi de vous questionner sur :

  • La complexité des actions à mener
  • La définition précise ou le choix des solutions dans les activités à réaliser
  • Les initiatives et décisions à prendre
  • L’étendue des responsabilités (encadrement hiérarchique, encadrement d’encadrants, gestion de budgets, conduite de projets, conception ou amélioration de process ou produits…)
  • Les attributions de tutorat, d’animation d’équipe, de management  fonctionnel.

« mise en oeuvre des classifications »

Vos représentants CFDT sont en capacité de
vous accompagner pour l’ensemble de vos
démarches.
La convention collective prévoit la possibilité de demander des explications et de proposer des corrections à votre fiche d’emploi.
Elle prévoit aussi la possibilité de demander le détail de la cotation et là encore, elle oblige l’employeur à justifier ses positions.
Contactez-nous

Vous n’êtes pas tout à fait d’accord avec votre fiche d’emploi ?

N’hésitez pas à envoyer à votre référent RH des demandes d’explications motivées.
Voici une lettre type à compléter.