Archives de catégorie : Dialogue social

Joyeuses fêtes de fin d’année 2023

Que vous soyez en mode vacances ou dans le tourbillon du quotidien, que vous soyez fan des festivités ou que vous préfériez une soirée tranquille , nous vous souhaitons des fêtes pleines de joie et une fin d’année étincelante 🌟

❤🤝Commission de solidarité : nous tenons à rappeler l’existence de cette Commission que vous pouvez solliciter en cas de besoins. Votre bien-être est leur priorité, et cette commission est là pour vous soutenir. Informations ici.

Rappel Meyclub 300 € : nous vous rappelons qu’il ne reste plus que quelques jours pour profiter de votre subvention de 300 € sur Meyclub. Pour gagner du temps, envisagez de convertir ces avantages en chèques Cultura, avec un exemple concret : 200 € de Cultura au coût de 50 € pour vous, et une subvention de 150 €.

🎁Cadeaux de Noël 2023 : si vous n’avez pas encore récupéré vos cadeaux de Noël, n’hésitez pas à contacter le CSE. Ils sont là pour vous assister.

💳Carte UP ONE

Pensez à activer votre carte UP ONE, votre carte-cadeau « culture » disponible en version physique ou virtuelle grâce à leur application dédiée, téléchargeable sur les stores (Apple ou Google Play).

Pour celles et ceux qui rencontrent des difficultés d’activation de leur carte UP ONE, un guide détaillé est disponible ici.

💰NAO 2023 : nous vous informons que les négociations annuelles obligatoires (NAO) sont en cours. Nous travaillons activement pour garantir un résultat favorable, visant un minimum de 4 % d’augmentation salariale. La première réunion de NAO s’est tenue le 19 décembre 2023. Le chef d’établissement s’en tient à 4% d’augmentation comme convenu lors des NAO 2022. Les 8 % d’augmentation de la mutuelle seront répartis pour tous les salariés (actifs et inactifs) en 6% à la charge de Bosch et 2 % à la charge du salarié. Prochaine réunion de NAO prévue le 25 janvier 2024.

💳Chèques vacances : Les commande des chèques vacances ANCV et Chèques CESU seront ouvertes à compter du 1er janvier 2024 sur le site https://www.cseboschso.fr Possibilité de payer la part salarié avec la carte Up One recue fin 2023 !

TOUT ÇA POUR ÇA 

Une réunion extraordinaire PS s’est tenue le 21 novembre 2023 sur le site Bosch Schwieberdingen en présence des représentants des sites PS européens pour une présentation des orientations stratégiques de la division.

Lors de cette réunion, nous avons appris que la direction du groupe a remis en cause ses propres choix stratégiques : Hydrogène, batteries 48V qui se sont révélés être un véritable fiasco.

Selon la direction, la perte annoncée est estimée à 1 milliard d’euros !

La direction Bosch poursuit son désengagement massif sur les sites Français dans le domaine de l’hydrogène et de l’électrification. Elle estime que le marché européen n’est pas mature pour ces technologies et confirme son intention d’investir massivement en Chine pour l’Hydrogène malgré l’absence de clients.

D’ici 2025, 1400 salariés sur les sites de Feuerbach et Schwieberdingen seront dépourvus d’activité précise en lien avec l’arrêt programmé du moteur thermique en 2035 décidée par les 27 pays membres de la Commission Européenne. A noter : le syndicat IG Metall a signé un accord préservant les emplois Bosch en Allemagne jusqu’en 2027 !

Les principaux responsables de la division PS n’ont pas pris la peine de justifier leurs choix stratégiques déplorables, préférant accorder leur attention à un autre rendez-vous qu’ils estimaient sans doute plus crucial.

À titre de consolation, la secrétaire du comité Européen a invité M. Jan-Oliver Roehrl, responsable de la division PS, à répondre aux questions des représentants.

A la sortie de cette réunion, les doutes sur l’avenir de notre activité étaient plus présents que jamais.

L’emploi sur les sites de Saint Ouen et de Vénissieux méritait que le groupe y accorde de l’intérêt. Malheureusement, Bosch en a décidé autrement.

Une réponse déterminante de la division PS nous sera communiquée fin novembre 2023.

Elle scellera à jamais l’avenir de nos compétences et de nos emplois.

La direction du groupe Bosch France accompagnera la décision Allemande dans des conditions « socialement acceptables » avec le consentement de notre DRH Bosch France Bénélux M. Dominique Olivier. Comme à son habitude, cet accompagnement se fera sous la responsabilité juridique M. Edouard Pinon, garant du droit du travail pour la France.

Même si le « off » n’est pas reconnu chez Bosch, vos représentants ont interpellé M. Roehrl à la sortie de la réunion pour apporter des réponses aux questions restées lettres mortes lors de cette instance.

La seule certitude confirmée par ce dernier est la non-livraison des bancs hydrogène sur les sites de Vénissieux et de Rodez.

Autant dire qu’on peut s’attendre à un feu d’artifice de créativité dans le domaine du « socialement acceptable ».

Nous remercions les représentants des sites Bosch en Allemagne, République Tchèque, Espagne, Italie et Pays Bas pour leur soutien à notre message de détresse.

Vos élus CFDT représentants à cette instance :

  1. Arjona Christophe
  2. Errachidi Choukri

Information de dernière minute

Quelques heures à peine après la diffusion de notre communication, nous venons d’apprendre qu’une réunion de CSE extraordinaire aura lieu le 27/11/2023 dans l’après midi.

ORDRE DU JOUR : « Information relative au projet envisagé par la Division PS pour le centre d’essais PS/ETW-FR de Saint-Ouen en présence de Monsieur Krueger Michael (PS/NE-CV). »

 

1er janvier 2024 : application de la nouvelle convention collective de la métallurgie

1ER JANVIER 2024

LA CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DE
LA MÉTALLURGIE PREND SON PLEIN EFFET

Signée en février 2022, cette nouvelle convention collective applicable au 1er janvier 2024 met fin aux 78 conventions collectives territoriales et sectorielles.

Elle met en place des droits identiques pour toutes et tous sur l’ensemble du territoire.

Elle ouvre des droits nouveaux non dérogeables :

  • Un maintien à 100 % de la rémunération nette en cas d’absence maladie
    jusqu’à 180 jours. C’est une avancée pour près d’un million de salariés.
  • Un maintien partiel de la rémunération au-delà de ces 180 jours, un
    capital décès ou encore une rente en cas d’invalidité permanente pour
    tous les salariés de la métallurgie depuis le 1er janvier 2023.
  • Une grille de salaires minima unique qui améliore les minis actuellement
    applicables pour 80 % des salariés concernés.
  • La révision de la classification et des coefficients associés.

C’est un élément important, il est nécessaire de la vérifier, de s’assurer qu’elle comporte :

  • L’intitulé de l’emploi !
  • La finalité de l’emploi !
  • Les activités significatives de l’emploi même si ces activités ne
    représentent qu’une part minime de votre temps de travail !

Il est important aussi de vous questionner sur :

  • La complexité des actions à mener
  • La définition précise ou le choix des solutions dans les activités à réaliser
  • Les initiatives et décisions à prendre
  • L’étendue des responsabilités (encadrement hiérarchique, encadrement d’encadrants, gestion de budgets, conduite de projets, conception ou amélioration de process ou produits…)
  • Les attributions de tutorat, d’animation d’équipe, de management  fonctionnel.

« mise en oeuvre des classifications »

Vos représentants CFDT sont en capacité de
vous accompagner pour l’ensemble de vos
démarches.
La convention collective prévoit la possibilité de demander des explications et de proposer des corrections à votre fiche d’emploi.
Elle prévoit aussi la possibilité de demander le détail de la cotation et là encore, elle oblige l’employeur à justifier ses positions.
Contactez-nous

Vous n’êtes pas tout à fait d’accord avec votre fiche d’emploi ?

N’hésitez pas à envoyer à votre référent RH des demandes d’explications motivées.
Voici une lettre type à compléter.

Rentrée 2023

Cher·e·s collègues,

Voici quelques infos pour votre rentrée 2023 :

Nous espérons que vous avez passé d’agréables vacances et que vous êtes prêt·e·s à aborder cette nouvelle rentrée avec énergie et enthousiasme. En tant que section syndicale, nous souhaitons vous informer de certains points importants.

La question de la participation s’impose. 😎

La loi prévoit que, sans action de votre part, la totalité de votre participation sera bloquée, dont la moitié sur le PERCO ( (Plan d’Epargne pour la Retraite Collectif) où elle sera bloquée jusqu’à votre départ à la retraite. Si vous n’avez pas encore fait de choix concernant ces dispositifs, nous vous invitons à le faire dès que possible. Et ce avant le 14 sept. 2023 !

Votre participation à ces plans peut vous offrir des avantages fiscaux intéressants et contribuer à votre épargne à long terme.

Les fiches emplois

En septembre, les RHs mettront également en place une communication sur les fiches emplois. Il est essentiel de demander la cotation de votre poste à votre supérieur hiérarchique afin de faire le lien avec la nouvelle classification de la convention de la métallurgie. Cette étape est cruciale pour garantir que votre emploi est correctement évalué. Si vous constatez un problème ou si vous avez des interrogations à ce sujet, nous vous encourageons vivement à prendre contact avec nous. Nous sommes là pour vous accompagner et défendre vos intérêts.

Télétravail 💻

Un sondage a été envoyé par M. Piat vendredi 25 août. ⚠: considérez bien les Jeux Olympiques dans vos réponses ainsi que le montant alloué par jour de télétravail !!!

Réponse souhaitée avant le 22 septembre 2023.

Et si on parlait sport ?

En outre, nous vous informons que la salle de sport pourrait ouvrir à partir du mois d’octobre, si tout se déroule comme prévu… Cette initiative vise à favoriser votre bien-être et votre santé. L’accès à la salle de sport est accessible pour tou·te·s les adhérent·e·s. Vous avez également la possibilité d’y adhérer à la journée à la semaine, au mois, au trimestre, au semestre ou à l’année. Pour info, l’abonnement mensuel serait fixé à 12 €.  La participation du CSE reste à confirmer lors de la prochaine réunion CSE en septembre.

Votre section syndicale reste à votre disposition pour répondre à vos questions, résoudre les problèmes et vous accompagner dans vos démarches.

Nous vous souhaitons une excellente rentrée.

Contactez nous

Rejoignez nous.

64 ANS C’EST NON, Tous à la manifestation mardi 31 janvier 2023 

Manifestation unitaire

#pas1jourdeplus

[MEC]

Une puissante mobilisation qui oblige au retrait

Ce 19 janvier, partout sur le territoire, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, et de jeunes, dont au moins 400 000 à Paris se sont mobilisé-es
mis en grève et/ou ont manifesté, dans le public comme dans le privé, contre la réforme des retraites de ce gouvernement.
Cette réforme est inacceptable et va à l’encontre des intérêts de la population. Elle ne s’y trompe pas, puisque même avant d’être dans la rue plus de 600 000 personnes ont déjà signé la pétition intersyndicale.
Les travailleuses et les travailleurs aspirent à partir à la retraite en bonne santé, et avec un niveau de retraite qui permette de vivre dignement. Le message
est très clair : le gouvernement doit renoncer à la fois à l’âge de départ à la retraite à 64 ans et à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.
D’autres solutions existent, elles ont malheureusement été balayées d’un revers de main.
L’ensemble des organisations syndicales réaffirme son opposition à la réforme et sa détermination à avoir un système de retraite juste, financé aussi par un autre partage des richesses.
Afin de renforcer et d’inscrire dans la durée cette première mobilisation massive, les organisations

syndicales appellent dès à présent à une journée de grève et de manifestation interprofessionnelle.
L’intersyndicale invite la population à signer massivement la pétition, et appelle à multiplier les actions et initiatives partout sur le territoire, dans les entreprises
et services, dans les lieux d’étude, y compris par la grève, notamment autour du 23 janvier, jour de la présentation de la loi au conseil des ministres.
Elles appellent les salarié-e-s et les jeunes à préparer des assemblées générales pour discuter des poursuites de la mobilisation.
Et alors que le gouvernement appelle les organisations syndicales à être responsables et à ne pas bloquer le pays, nous réaffirmons qu’il est et sera
le seul responsable de cette situation puisque 9 travailleuses et travailleurs sur 10 rejettent cette réforme injuste et brutale.
Nous sommes unis et déterminés à faire retirer ce projet de réforme des retraites, c’est pourquoi l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 31 janvier. L’intersyndicale se réunira le soir même.

Nous sommes plus de 700 000 à avoir signé la pétition pour
dire non à cette réforme injuste et brutale. Rejoignez-nous :

Réforme des retraites, Manifestation du 19 janvier 2023

Le Gouvernement vient d’annoncer officiellement que les Français et Françaises devront désormais travailler jusqu’à 64 ans !

POUR LA CFDT, CELA A TOUJOURS ÉTÉ NON !

Cette mesure est brutale et profondément injuste. Elle va contraindre des millions de personnes à travailler plus, sans gagner plus. Ce sont les salarié·es qui ont commencé à travailler tôt et/ou qui ont souvent des carrières modestes qui vont payer le prix de cette réforme. Pire, il n’y a pas de problème dramatique de financement de notre système de retraites qui justifie une telle mesure.

Concrètement, cela signifie :

  • Né·es en 1961 > 3 mois de travail en + pour rien !
  • Né·es entre 1962 et 67 > de 6 à 21 mois en + pour rien !
  • Né·es en 1968 et plus > 2 ans de travail en + pour rien !

LA CFDT APPELLE À LA MOBILISATION
POUR DIRE HAUT ET FORT : 64 ANS C’EST NON !

Retrouvez toutes nos revendications
pour une réforme des retraites juste et solidaire sur :
https://cfdt.fr/reforme-des-retraites
RENDEZ-VOUS LE JEUDI 19 JANVIER 2023
Pétition contre la mesure d’âge !

Communiqué intersyndical

Retraites : première journée de mobilisation le 19 janvier 2023

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.
Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.
Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le Gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement.
Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle-ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.
Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraité.es, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.
Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.
Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale.
Paris le 10 janvier 2023

Télétravail : ou en est on ?

La Cfdt tient tout d’abord à vous remercier pour vos nombreuses contributions sur ce sujet important qu’est le Télétravail.

Ceci nous a permis de préparer la dernière réunion de négociation qui s’est déroulée le 10 mars dernier sur le site de Drancy.

Avant tout, il faut rappeler que ce projet d’accord concerne l’ensemble du groupe Bosch en France. Il y a en effet aujourd’hui de nombreuses disparités entre les sites du groupe sur ce mode d’organisation du travail.

L’ensemble des thèmes évoqués lors des dernières réunions ont de nouveau été abordés.

En ce qui concerne le nombre de jours de télétravail, La Direction est restée ferme sur un maximum de 110 jours par an avec présence minimum d’un jour par semaine sur site. Les revendications de la Cfdt, basées sur vos retours et vos attentes, n’ont malheureusement pas été entendues. Nous regrettons la position de la Direction sur ce point.

La Direction a présenté un projet de questionnaire de demande de télétravail permettant d’utiliser des critères objectifs pour le justifier. Ce questionnaire devrait être utilisé en cas de litige entre le salarié et son manager sur la demande de télétravail.

La plage de disponibilité présente dans l’accord actuel a été supprimée pour les salariés au forfait jour. La disponibilité des salariés sera donc la même que pour le travail sur site, ce qui est plus cohérent. Le droit à la déconnexion n’est pas spécifique au télétravail. Il s’agit d’un un droit pour l’ensemble des salariés, quel que soit le mode d’organisation du travail.

La Direction n’a pas accepté notre revendication de dotation pour un équipement de bureau. Il a cependant été confirmé que les salariés bénéficiant de matériels spécifiques pour raisons médicales, comme une chaise de bureau ergonomique, pourront être équipés de la même manière à leur domicile.

Pour la prise en charge des frais liés au télétravail, l’URSSAF prévoit une indemnité maximum de 3,25 € par jour de télétravail dans la limite de 71,5 € par mois. Dans ces limites, l’indemnité est exclue des cotisations sociales. Cependant les règles fiscales imposent une limite différente de 2,5 € par jour de télétravail et de 55 € par mois. Au-delà, cela rentre dans le salaire imposable.

La Direction propose 2 € par jour de télétravail en 2022 et 2,5 € par jour à partir de 2023, indiquant que certains sites du groupe n’ont rien à ce jour. Pour la Cfdt, Il appartient à l’entreprise de prendre en charge les frais engagés par les salariés dans le cadre de l’exécution de leur travail. Le but n’étant pas de s’enrichir mais bien de couvrir les frais supplémentaires engagés par les salariés, spécialement dans le contexte actuel ou nous subissons tous une explosion des coûts, notamment de l’énergie. Les limites des régimes sociaux et fiscaux n’empêchent pas l’employeur de proposer une indemnité supérieure.

En conclusion, cet accord représentera une avancée importante pour un certains nombres de sites du groupe qui ne bénéficiaient pas aujourd’hui des accords de Robert Bosch France. Pour ces derniers, la nouveauté principale résidera dans la flexibilité qu’apporte le contingent annuel de jours de télétravail. Il ne sera en effet plus obligatoire de poser un ou plusieurs jours fixes par semaine. Les salariés pourront donc utiliser leur compteur de manière plus flexible, en accord avec leur manager.

La Cfdt a obtenu la suppression de la plage de disponibilité pour les salariés au forfait jours, la reconnaissance de l’éligibilité au télétravail pour les salariés ayant télétravaillés pendant la crise sanitaire, la possibilité pour les salariés de télétravailler ailleurs que dans leur domicile principal et la création d’une commission de suivi.

La Cfdt regrette néanmoins la position de la Direction qui n’a pas entendu toutes vos revendications légitimes et largement appuyées, notamment celles concernant le nombre de jours annuels et la prise en charge des frais liés au télétravail.

La direction devrait nous envoyer prochainement la proposition d’accord de groupe. Une dernière réunion devrait se dérouler en avril pour obtenir la position des différentes organisations syndicales. Ce nouvel accord pourrait entrer en vigueur au deuxième semestre 2022.

Nous attendons vos commentaires. Vos élus Cfdt sont toujours disponibles, n’hésitez pas à nous contacter !




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    Extrait de questions posées par des salariés du site de Saint-Ouen :

    Le télétravail est dans notre société actuelle un outils/moyen permettant aux équipes d’être flexible / agile et donc performante. En tant que manager j’ai pu voir (grâce au COVID) le bénéfice apporté à mon équipe d’avoir cette liberté d’organiser son temps et son travail comme ils le souhaitent. Ils y ont trouvé un confort organisation vie pro/vie perso. Sans parler du bénéfice apporté par la confiance qu’on leur donne en les laisser gérer seul. Certains ont gagné en prise d’initiative, autonomie et confiance en soi.

    Le télétravail devrait être renforcé à partir d’un certain âge (55-60 ans par exemple ) car le temps et les conditions de transport en IDF sont particulièrement épuisants. 1 jour de plus/semaine proposé aux salariés qui le souhaitent. Je pense que cette mesure pourrait soulager de nombreux salariés et éviter des arrêts maladie liés à la fatigue voire à l’épuisement. Pour ma part, je constate que depuis le début de la pandémie et la mise en place du TT, ma santé est meilleure. Moins de fatigue et de stress liés aux transports, travail dans le calme et plus au milieu d’un open espace bruyant voire très bruyant. Du temps pour faire une activité sportive 2 fois par semaine. Un meilleur sommeil, plus de temps pour soi .. etc. Meilleure concentration, moins de fatigue, moins de stress = meilleure productivité. Donc très intéressant pour l’entreprise. J’ai remarqué que la notion d’âge n’est jamais abordée dans les négociations sur le TT. Pour en discuter avec mes collègues, je pense que cela devrait être pris en compte car c’est illusoire de penser qu’on a la même résistance à 25 ans qu’à 55 ans. Personnellement le TT a vraiment changé ma vie…c’est la même mais en beaucoup mieux !

    Réponse de la Cfdt : Cette revendication a été soumise à la direction qui n’a pas donné suite.

    Le télétravail m’a permis de « gagner » du temps sur le trajet mais je conçois que ce temps est converti en heure de travail et il est parfois difficile de limiter l’heure de fin de journée. Imposer un droit à la déconnexion est important pour éviter les dérives et devoir travailler à des heures très tardives – Quid des frais de télétravail car 2€ par jour semble me semble peu si on prend en compte les frais de repas le midi et la consommation d’électricité supplémentaire

    Réponse de la Cfdt : Concernant la déconnexion, la direction a entendu ces arguments et a décidé d’appliquer les mêmes dispositions qu’une journée de travail sur site.

    Propositions cohérentes Surtout une grande importance à accorder à la prime d’équipement de 300 Euros qui serait notamment le bienvenu pour prévenir les TMS (cela coûtera plus cher à la direction quand beaucoup de salariés seront arrêtés pour des problèmes de santé (de dos notamment)) Et également l’indemnité de télétravail de 2 Euros par jour est complètement insuffisante (3,5 ou 4 seraient plus acceptables).
    Par exemple, pour les salariés chauffés électriquement, les 2 Euros ne couvrent même pas cet aspect… De plus, pendant que nous sommes en télétravail, la direction ne paie pas le passage à la cantine qui s’élève à plus de 5E….

    Réponse de la Cfdt : Malgré nos demandes répétées, la direction a toujours refusé d’accorder une prime d’équipement alors que d’autres sociétés la propose.

    Une indemnité pour éviter les Troubles musculo-squelettiques (chaise de bureau adaptée, p.ex) me semble importante car avec l’effacement ce la frontière Espace de travail professionnel/privé, l’employé ne peut plus attester d’un TMS causé durant le temps de travail, auprès de son employeur.

    Réponse de la Cfdt : La direction a proposé aux salariés qui pour raison médicale pourront s’équiper de fauteuil ergonomique sur justification du service médical.

    Je trouve les propositions pertinentes excepté celle de la coupure du VPN, il faut pouvoir laisser le choix aux gens de se déconnecter par eux mêmes aux heures qui leur conviendront. Dans tous les cas Merci pour le travail réalisé !

    Réponse de la Cfdt : Merci pour votre commentaire. Concernant l’accès au VPN, la direction ne prévoit aucune coupure ni aucun popup chaque 2 heures.

    15€ par mois d’indemnité de télétravail ce n’est pas suffisant 40€ serait parfait. Le télétravail est un plus: il permet de nous organiser librement, d’être flexible, et surtout de gagner beaucoup de temps chaque jour!!!!
    2h par jour ça fait 42h par mois! (des heures de gagnées, parfois pour le travail, parfois pour le perso: situation WIN-WIN).  pas oublier de mettre en opposition les bénéfices du télétravail.
    – stress du transport (embouteillage, transport an commun, …)
    -gain de temps sur sa journée (1h30 de gagné si 45min/trajet)
    – économique principalement en cas de déplacement en voiture . L’entreprise y gagne, un grand nombre de personne (sauf célibataire vivant dans 25M²) y gagne en agrément et cadre de vie. QUID de ceux qui n’ont pas le choix ou la possibilité.

    Réponse de la Cfdt : Concernant l’indemnité journalière, la direction refuse d’aller au delà des 2€ !

    Très bonne approche !

    Réponse de la Cfdt : Merci !

    Je souhaite que vous puissiez obtenir de la direction un quota maximum de jours de télétravail à 132 jours, soit 3 jours par semaine.

    Réponse de la Cfdt : On en avait rêvé, Bosch ne l’a pas fait !

    Inutile de faire venir les stagiaires/alternants si le tuteur n’est pas présent. Nous sommes étudiants et nos revenus ne matchent pas avec l’augmentation du prix du carburant…

    Réponse de la Cfdt : La question a été posée en CSE concernant l’ensemble du personnel pour une prime mobilité. Bosch n’a pas souhaité aller dans ce sens.

    Adhérer

    Les salariés syndiqués bénéficient de nombreux services :

    • Information régulière
    • Droit d’expression
    • Défense personalisée
    • Formation syndicale
    • Crédit d’impôt de 66 % de la cotisation
    • Caisse Nationale d’Action Syndicale
    Bulletin d’adhésion valable pour les sites Bosch Saint-Ouen et Drancy

    Négociations Télétravail

    Les négociations concernant les nouvelles conditions de télétravail ont débuté début janvier avec deux premières réunions au cours desquelles la Direction nous a fait part de ses propositions sur les futures modalités du télétravail.

    L’objectif étant de trouver un accord national avant de finaliser les discussions pour prendre en compte les spécificités de chaque site.

    La crise sanitaire a eu un impact important sur nos conditions de travail. La plupart des salariés ont eu recours au télétravail lors de ces deux dernières années. Certains ont découvert ce mode de travail qui a certes ses avantages mais présente aussi des risques à ne pas négliger.

    Les attentes des salariés sont fortes pour ce nouvel accord et vos élus CFDT défendront vos intérêts lors de ces négociations

    Les thèmes abordés lors de ces négociations sont les suivants :

    • Définition et types de télétravail
    • Caractère volontaire
    • Conditions d’éligibilité au télétravail
    • Nombre de jours de télétravail
    • Lieu d’exercice du télétravail
    • Procédure de passage en télétravail
    • Frais liés au télétravail
    • Temps de travail
    • Droit à la déconnexion
    • Santé
    • Formation
    • Suivi du télétravail

    1/ Définition et type de télétravail

    Plusieurs catégories de télétravail sont proposées pour différencier le télétravail régulier du télétravail occasionnel (ponctuel, circonstances exceptionnelles individuelles ou collectives)

    Notre avis :

    Ces catégories devraient couvrir l’ensemble des situations. Le télétravail occasionnel permettra aux salariés qui ne souhaitent pas bénéficier d’un avenant de télétravail de pouvoir télétravailler de manière ponctuelle, en cas d’intervention technique à son domicile par exemple, ce qui apporte une certaine flexibilité. Une attention particulière devra être portée sur les demandes de télétravail pour motif médical qui doivent être strictement encadrées.

    2/ Caractère volontaire

    L’accord prévoit le principe du double volontariat, sauf pour les circonstances exceptionnelles, comme la crise sanitaire que nous traversons. La demande du télétravail est à l’initiative du salarié et doit être acceptée par l’employeur.

    Notre avis :

    Le code du travail précise bien ce caractère volontaire du télétravail en définissant celui-ci comme « toute forme d’organisation du travail dans laquelle un travail qui aurait également pu être exécuté dans les locaux de l’employeur est effectué par un salarié hors de ces locaux de façon volontaire en utilisant les technologies de l’information et de la communication »

    3/ Conditions d’éligibilité au télétravail

    Tous les types de contrats sont éligibles au télétravail après 2 mois d’ancienneté.

    Télétravail régulier : Poste pouvant être exercé à distance et dont l’exécution en télétravail est compatible avec le bon fonctionnement du service et la configuration de l’équipe.

    Proposition de l’utilisation d’un questionnaire d’autodiagnostic basé sur des critères objectifs pour vérifier la compatibilité du poste au télétravail.

    Télétravail occasionnel : Conditions d’accord plus souples que pour le télétravail régulier.

    Télétravail circonstances individuelles : nécessite un justificatif

    Télétravail exceptionnel : Imposé pour motifs encadrés par le code du travail

    Notre avis :

    La possibilité de faire du télétravail pour tous les salariés, quelque soit leur contrat, était une de nos revendications qui a été entendue. La direction a également accepté le principe que les salariés ayant effectué du télétravail pendant la crise sanitaire soient, de fait, présumés éligibles au télétravail régulier.

    Nous sommes conscients du risque d’iniquité dans l’application de cet accord, certains managers étant encore réticent pour ce mode d’organisation du travail.  Nous resterons vigilants sur ce point et vous apporterons un support si nécessaire pour trouver des solutions.

    4/ Nombre de jours de télétravail

    La Direction propose un nombre maximum de 110 jours par an. Le nombre de jours devra être défini par le manager. Présence minimum d’un jour par semaine sur site et compteur non reportable d’une année sur l’autre

    Notre avis :

    La différence principale par rapport à l’accord actuel est la flexibilité qu’apporte ce type de compteur en offrant la possibilité aux salariés de gérer leur compteur sans définir des jours de télétravail fixes par semaine.

    En ce qui concerne le nombre de jours, nous continuons notre réflexion en prenant en compte les attentes des salariés.

    5/ Lieu d’exercice du télétravail

    Le télétravail devra s’exercer en France métropolitaine exclusivement, dans la résidence principale où dans un lieu tiers dans la mesure ou les conditions de confidentialité et de sécurité sont respectées. Les espaces de coworking sont prohibés.

    Notre avis :

    Nous avons demandé et obtenu que le lieu d’exercice du télétravail ne soit pas uniquement la résidence principale. Il est en effet tout à fait possible de télétravailler dans un autre lieu (parents, résidence secondaire, etc.).

    En ce qui concerne l’espace de coworking, il y a beaucoup de nouveauté dans le domaine. Cela pourrait être une alternative aux personnes ne pouvant ou voulant pas télétravailler chez elles, dans la mesure où la confidentialité est respectée.

    6/ Procédure de passage en télétravail

    Pour le télétravail régulier : discussion préalable avec le manager, remplissage du questionnaire d’autodiagnostic et demande d’avenant en cas d’accord.

    Pour les autres types de télétravail, accord écrit suffisant.

    Dans tous les cas, pointage des heures réellement effectuées.

    Notre avis :

    Tout refus du manager doit être justifié en détails. Les salariés peuvent bien entendu demander le support des représentants CFDT en cas de litige afin de trouver des solutions. Nous avons obtenu la création d’une commission de suivi au niveau national.

    7/ Temps de travail

    Même temps de travail que sur sites, en respectant également les durées maximales de travail et les temps de repos. Les salariés en heures pourront être joints dans les plages horaires en vigueur sur sites. Les salariés en forfait jours bénéficient de la même autonomie que sur sites. L’évaluation de la charge de travail devra faire l’objet d’une attention particulière lors de l’entretien annuel.

    Notre avis :

    C’est un sujet complexe. Il est évident que le fait de passer en télétravail ne doit pas impliquer de hausse de la charge de travail. Le dialogue est essentiel pour éviter les dérives.

    8/ Droit à la déconnexion

    La Direction rappelle le droit à la déconnexion en proposant une plage horaire de 08h30 à 18h30 en dehors de laquelle un salarié ne pourra pas être contacté, dans la mesure du possible, tout en indiquant que cette plage horaire n’est pas une plage de disponibilité du salarié.

    Notre avis :

    Le droit à la déconnexion n’est pas vraiment spécifique au télétravail. Il s’agit d’un un droit pour l’ensemble des salariés quel que soit le mode d’organisation du travail.

    Il est essentiel de garantir le respect des temps de repos et de congés afin d’avoir un équilibre entre la vie personnelle et familiale. Très souvent, les salariés n’indiquent pas leurs horaires réels et indiquent plutôt une plage fixe comme 09h-17h. Cela rend impossible la vérification du respect des temps de travail et de repos.

    La sensibilisation régulière des salariés et le dialogue entre les salariés et leurs managers sont essentiels.

    9/ Santé et sécurité

    Plusieurs actions préventives et curatives sont évoquées, de la formation pour tous les salariés, incluant bien entendu le management, des guides de bonne pratiques et un suivi du télétravail

    Notre avis :

    C’est peut-être le volet le plus important de l’accord. La plupart des salariés apprécient le télétravail qui est devenu un mode d’organisation du travail incontournable aujourd’hui. Néanmoins, les risques psycho sociaux inhérents à celui-ci sont nombreux et pas toujours bien connus ni maitrisés, comme le risque d’isolement social. Il y aura donc un travail important à faire sur la prévention des risques notamment.

    10/ Equipements

    La Direction propose de mettre à disposition de chaque salarié qui le demande le pack suivant :

    • Un 2eme écran
    • Un 2eme clavier
    • Une 2eme souris
    • Un base USB avec 4 ports
    • Un 2eme chargeur
    • Un 2eme casque

    Ce pack sera prêté aux salariés, commandé via CI et devra être retiré sur le site (pas d’envoi à domicile).

    Notre avis :

    Même si la règlementation n’impose pas à l’employeur de mettre à disposition des salariés le mobilier pour aménager son poste de télétravail, nous réitérons notre demande d’une indemnité de 300 Euros afin que les salariés puissent s’équiper correctement (chaise, bureau, lampe etc…). Beaucoup d’autres entreprises (Renault, Stellantis par ex) ont accepté ces revendications légitimes et nous ne comprenons pas le refus catégorique de la Direction.

    11/ Frais liés au télétravail

    La direction propose une indemnité forfaitaire de 2 Euros par jour de télétravail

    Notre avis :

    Il appartient à l’entreprise de prendre en charge les frais engagés par les salariés dans le cadre de l’exécution de leur travail.

    L’URSSAF donne la possibilité du versement d’une indemnité forfaitaire ou d’utiliser les frais réels sur la base de justificatifs. Une liste de frais pouvant être considérés pour cet objet est détaillée par l’URSSAF

    Ces frais sont exonérés de cotisations et contributions sociales dans la mesure où ils sont utilisés pour couvrir les couts liés à l’activité de télétravail.

    Pour l’indemnité forfaitaire, sans accord de groupe, l’URSSAF limite le montant à 2,5euros par jour de télétravail dans la limite de 55 euros par mois. En cas d’accord de groupe, l’indemnité est limitée à 13 euros par mois pour une journée de télétravail par semaine, ou 3,25 euros par jour de télétravail dans le mois, dans la limite mensuelle de 71,50 euros.

    Nous demandons donc une indemnisation de 5 euros / jour de télétravail.

    12/ Suivi, réversibilité

    Il pourra être mis fin au télétravail à tout moment à l’initiative du salarié ou du manager avec un délai de prévenance d’un mois

    Le manager peut demander à annuler un jour de télétravail en cas de besoin impératif avec un délai de 24h

    Notre avis :

    Comme pour l’accord, l’annulation du télétravail par le management devra être motivé en détails. En ce qui concerne l’annulation d’un jour de télétravail, nous pensons qu’il n’est pas nécessaire de préciser les conditions dans l’accord et proposons de laisser l’autonomie aux salariés et managers de traiter ces cas exceptionnels en bon intelligence.

    La prochaine réunion se déroulera le 10 mars. N’hésitez pas à nous poser vos questions et à nous indiquer vos attentes concernant le télétravail.

    Vos élus sont toujours disponibles, n’hésitez pas à les contacter !

    Planning de poche 2022

    ELUS CSE

    Naima Mansouri                     01 40 10 79 14

    Jean-Laurent Lemaire            01 40 10 76 47

    Véronique De Saint-Riquier 01 40 10 79 93

    Christophe Arjona                  01 40 10 71 74

    Patricia Michel                        01 40 10 76 19

    Guy Felix                                  01 40 10 73 30

    Jean-Luc Robert                      01 49 45 47 08

    David Dubois                           01 40 10 75 60

    Pierre Weyer                           01 40 10 73 22

    Didier Hamm                      01 40 10 75 96

    REPRESENTANTS SYNDICAUX AU CSE

    Laurent Leroy                          01 40 10 76 58

    Marianne Hauser                   01 40 10 76 09

    REPRESENTANTS SYNDICAUX AU CSEC
    DELEGUES SYNDICAUX

    Naima Mansouri                     01 40 10 79 14

    Christophe Arjona                  01 40 10 71 74

    MEMBRES CSSCT

    Pascal Muller                          01 40 10 71 14

    Jean-Laurent Lemaire            01 40 10 76 47

    Ghislain Van Den Dooren     01 43 11 90 11

    N° Tel BOSCH

    Poste de garde :                      01 40 10 76 03

    Infirmerie :                               01 40 10 72 90

    CONGES POUR EVENEMENT FAMILIAL

    Mariage ou conclusion d’un PACS : 1 semaine

    Mariage d’un enfant : 1 jour

    Naissance ou adoption : 3 jours

    Décès d’un enfant : 5 jours

    Décès du conjoint, du partenaire de PACS, du concubin : 3 jours

    Décès d’un grand-parent : 1 jour

    Décès (père,  mère, beau-père, belle-mère,  frère ou  sœur) : 3 jours

    Annonce de la survenue d’un handicap chez un enfant : 2 jours

    Déménagement : 1 jour

    Enfant malade moins de 16 ans : 3 jours à 100 % + 1 jour à 50%

    CONGES D’ANCIENNETE

    Non-cadre 

    A partir de 10 ans : 1 jour

    Après 15 ans : 2 jours

    Après 20 ans : 3 jours

    Cadre

    A partir de 30 ans, (1 an d’ancienneté) : 2 jours

    Après 35 ans, (2 ans d’ancienneté) : 3 jours

    MEAILLE DU TRAVAIL
    PRIME PAR ANNEE BOSCH

    20 ans Argent :  50€/année Bosch

    30 ans Vermeil : 50€/année Bosch

    35 ans Or :  60€/année Bosch

    40 ans Grand or : 70€/année Bosch

    Pour rester informé :

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