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SOLIDARITE@BOSCH

Solidarité@Bosch

Le 7 décembre 2022, nous avons eu le plaisir d’accueillir les associations Les enfants de la lune, Entr’Aide – Une Lame pour Courir, et  Aide aux jeunes Diabétiques.

Un chèque de plus de 5 000 EUR leur a été remis de la part de tout les salariés Bosch qui ont décidé d’arrondir à l’euro inférieur leur salaire chaque mois. Bosch double la somme totale récoltée !

En 2021, 17 500 EUR a été récolté et chacune des trois associations a bénéficié d’un chèque de plus de 5 800 EUR.

Merci à tous les donateurs.
Pour adhérer au projet Solidarité@Bosch, cliquez ici : e-don

En 2022, nous avons perdu 95 adhérents. Cette baisse est le solde de la sortie du dispositif de 135 salariés et de l’adhésion de 40 salariés.

Fin 2022, le taux d’adhésion au dispositif est de 23,26 %

 

Manifestation du 16 février 2023

Nous étions 2,5 MILLIONS de travailleurs et travailleuses
dans les rues le 31 janvier, les 7 et 11 février pour dire « non aux 64 ans ! »…
et c’est la plus forte mobilisation de ces 30 dernières années !
Pour autant, nous devons poursuivre nos efforts pour faire reculer
le gouvernement sur cette mesure injuste. C’est pourquoi,
nous vous donnons rendez-vous :

L’intersyndicale est prête à durcir le mouvement !

jeudi 16 février 2023 · 14h00 · Bastille et le 7 mars en grève pour mettre la France à l’arrêt !

Depuis le 19 janvier dernier, la population ne cesse de démontrer sa très forte détermination à refuser le projet de réforme des retraites du gouvernement à travers les grèves, les manifestations mais aussi la pétition en ligne qui a atteint un million de signatures.
Au fil des semaines, les sondages démontrent également une hausse de ce rejet massif puisque dorénavant, plus de 7 français sur 10 et 9 travailleurs et travailleuses sur 10 se disent opposés au projet de réforme.
Ce mouvement social inédit par son ampleur est donc désormais ancré dans le paysage social. Le gouvernement, comme les parlementaires, ne peuvent y rester sourds.
Durant la poursuite des débats parlementaires, les organisations syndicales professionnelles et de jeunesse vont poursuivre la mobilisation et l’amplifier. Ainsi, elles appellent à une journée d’actions interprofessionnelles sur l’ensemble du territoire le 16 février.
Par ailleurs, les parlementaires appelés à se prononcer sur ce projet de réforme doivent entendre comme le gouvernement, le mécontentement de la population, et rejeter massivement ce texte. Il en va de leur responsabilité. C’est dans ce cadre que l’ensemble des secrétaires généraux et présidents écriront à chaque parlementaire de l’arc républicain pour réaffirmer notre opposition et celle de la population. Parallèlement, nous appellerons nos structures locales à interpeler député-es et sénateurs-trices dans leurs circonscriptions.
Enfin, si malgré tout le gouvernement et les parlementaires restaient sourds à la contestation populaire, l’intersyndicale appellerait les travailleurs et les travailleuses, les jeunes et les retraité.e.s à durcir le mouvement en mettant la France à l’arrêt dans tous les secteurs le 7 mars prochain. L’intersyndicale se saisira du 8 mars, journée internationale de luttes pour les droits des femmes pour mettre en évidence l’injustice sociale majeure de cette réforme envers les femmes.
L’intersyndicale se réunira le 16 février au soir. D’ici là, elle appelle le gouvernement à retirer son projet de loi et les parlementaires à prendre leurs responsabilités face au rejet massif de la population face à ce projet injuste et brutal.
Les Unions Régionales appellent les Franciliennes et Franciliens à maintenir la pression durant la période des vacances scolaires en s’impliquant dans les initiatives organisées dans les entreprises, administrations et services, les localités et les départements.

Manifestation unitaire :

jeudi 16 février 2023 · 14h00 · Bastille
et le 7 mars en grève pour mettre la France à l’arrêt !

RÉFORME DES RETRAITES : DÉCRYPTER POUR D’AUTRES CHOIX

LE GOUVERNEMENT AFFIRME QUE LES RETRAITES SONT FINANCIÈREMENT EN DANGER ET QUE LA SEULE SOLUTION EST LE RECUL DE L’ÂGE LÉGAL DE DÉPART À LA RETRAITE À 64 ANS. LA CFDT RÉCUSE CETTE ANALYSE ET REJETTE TOUT RECUL DE L’ÂGE LÉGAL DE DÉPART. RETROUVEZ ICI LES ALTERNATIVES DE LA CFDT POUR UNE RÉFORME DU SYSTÈME DES RETRAITES JUSTE ET SOLIDAIRE, ET POURQUOI 64 ANS, C’EST ET CE SERA TOUJOURS NON !

1. COMPRENDRE LE BESOIN DE FINANCEMENT
DU SYSTÈME DE RETRAITE
Depuis plusieurs années, le Conseil d’orientation des retraites (COR)
démontre que les dépenses du système de retraite sont maîtrisées.
Cela n’a pas toujours été le cas. Aujourd’hui, cette maîtrise des dépenses – qui est la conséquence des réformes des dernières décennies – n’est pas contestée. De plus, les caisses de retraites ont, au fil des années, constitué des réserves pour sécuriser l’avenir, et elles s’élèvent aujourd’hui à 170 milliards d’euros nets.
En revanche, tout le monde n’est pas d’accord sur le besoin
de financement du système de retraite pour les années à venir.
Chacun s’appuie sur le dernier rapport du COR pour affirmer des choses différentes : certains disent que le déficit à venir sera important, d’autres affirment qu’il sera d’une ampleur limitée, et d’autres encore soutiennent qu’il n’y aura aucun problème.
Pour comprendre ce désaccord, il faut revenir sur la manière
dont le COR construit ses projections de recettes et dépenses.

RETRAITES 64 ans, c’est non !
Et c’est non pour l’ensemble des organisations syndicales, quelle que soit leur  sensibilité. Toutes font le même constat : repousser l’âge minimal de départ à la retraite revient à s’attaquer aux salariés qui ont commencé à travailler tôt, qui ont souvent les métiers les plus pénibles et une espérance de vie inférieure au reste  de la population.
« Notre système de retraites par répartition n’est pas en danger  financièrement,  insiste Yvan Ricordeau, le secrétaire national chargé de ce dossier sensible à la  CFDT. Rien ne justie une réforme aussi brutale qui, si elle est adoptée, va avoir des conséquences sur l’ensemble de notre protection sociale et notamment sur  l’assurance chômage. » Car repousser l’âge de départ à 64 ans revient également à aggraver la précarité des personnes qui ne

sont déjà plus en emploi. Et l’on connaît la dureté du marché du travail vis-à-vis des seniors en France, nombreux à désespérer de retrouver un emploi passé le cap des 55 ans (lire le décryptage p. 4). Sur ce sujet aussi, les syndicats
parlent d’une même voix.
« Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse, pendant la concertation avec le gouvernement, de proposer d’autres solutions de  nancement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement », dénoncent-elles dans un texte commun. Alors que le projet de loi va être adopté en Conseil des ministres (ce n’est pas encore le cas lorsque nous mettons sous presse), les salariés sont appelés à se mobiliser afin

d’empêcher cette réforme d’aller à son terme. La mobilisation devrait s’étirer dans la durée et avoir lieu selon des modalités diverses – grèves, manifestations, pétitions, rencontres avec les parlementaires, contre-argumentations… «C’est une réforme budgétaire»
La bataille de l’opinion commence. Les voix des travailleurs doivent être entendues et leurs opinions prises en considération par un pouvoir exécutif qui reste sourd aux revendications de l’ensemble des organisations syndicales : ne pas toucher à la borne d’âge ! « Ce projet de loi n’est pas une réforme des retraites, c’est une réforme budgétaire, résume Laurent Berger. Et c’est bien là tout le problème. »

Manifestations les 7 et 11 février 2023

Nous étions 2,5 MILLIONS de travailleurs et travailleuses
dans les rues le 31 janvier pour dire « non aux 64 ans ! »…
et c’est la plus forte mobilisation de ces 30 dernières années !
Pour autant, nous devons poursuivre nos efforts pour faire reculer
le gouvernement sur cette mesure injuste. C’est pourquoi,
nous vous donnons rendez-vous :

Pour la première fois, une mobilisation aura lieu un samedi,
pour permettre à toutes celles et ceux qui ne peuvent faire grève
la semaine de se mobiliser. Alors que vous soyez salarié·es, agents
et agentes, demandeurs et demandeuses d’emploi, retraité·es, …
rejoignez massivement les cortèges !
Avec vous, nous pouvons être encore plus nombreuses
et nombreux, pour exprimer notre rejet.
Retrouvez tous les points de rassemblement ici :
www.cfdt.fr/manifestations-retraite

RÉFORME DES RETRAITES : DÉCRYPTER POUR D’AUTRES CHOIX

LE GOUVERNEMENT AFFIRME QUE LES RETRAITES SONT FINANCIÈREMENT EN DANGER ET QUE LA SEULE SOLUTION EST LE RECUL DE L’ÂGE LÉGAL DE DÉPART À LA RETRAITE À 64 ANS. LA CFDT RÉCUSE CETTE ANALYSE ET REJETTE TOUT RECUL DE L’ÂGE LÉGAL DE DÉPART. RETROUVEZ ICI LES ALTERNATIVES DE LA CFDT POUR UNE RÉFORME DU SYSTÈME DES RETRAITES JUSTE ET SOLIDAIRE, ET POURQUOI 64 ANS, C’EST ET CE SERA TOUJOURS NON !

1. COMPRENDRE LE BESOIN DE FINANCEMENT
DU SYSTÈME DE RETRAITE
Depuis plusieurs années, le Conseil d’orientation des retraites (COR)
démontre que les dépenses du système de retraite sont maîtrisées.
Cela n’a pas toujours été le cas. Aujourd’hui, cette maîtrise des dépenses – qui est la conséquence des réformes des dernières décennies – n’est pas contestée. De plus, les caisses de retraites ont, au fil des années, constitué des réserves pour sécuriser l’avenir, et elles s’élèvent aujourd’hui à 170 milliards d’euros nets.
En revanche, tout le monde n’est pas d’accord sur le besoin
de financement du système de retraite pour les années à venir.
Chacun s’appuie sur le dernier rapport du COR pour affirmer des choses différentes : certains disent que le déficit à venir sera important, d’autres affirment qu’il sera d’une ampleur limitée, et d’autres encore soutiennent qu’il n’y aura  aucun problème.
Pour comprendre ce désaccord, il faut revenir sur la manière
dont le COR construit ses projections de recettes et dépenses.

Bilan 2ème réunion NAO

Les Organisations Syndicales ont demandé une répartition à 6% en 2023 et 3% en 2024.

La direction est restée sur sa première proposition à 5% en 2023 et 4% en 2024 avec une prime PPV restée inchangée : 800 € jusqu’à 2 SMIC et 700€ entre 2 et 3 SMIC.

Cette 2ème réunion de Négociation était juste une réunion d’information ou la direction est restée bloquée sur sa position initiale exprimée lors de la 1ère réunion NAO.

Une deuxième réunion pour rien !!!

A la fin de la première réunion NAO nous avons fait part de notre mécontentement concernant la position de la direction sur la revalorisation salariale proposée pour 2023. Malgré les nombreuses propositions faites par les différentes organisations syndicales la direction est restée sur sa position. Vous trouverez donc ci-dessous le résultat final des NAO 2023 :
Une augmentation générale de 5% pour l’année 2023 en AG pour l’ensemble des salariés. Prise en compte de l’augmentation sur le salaire de février avec effet rétro actif au 1er janvier 2023.
Une Prime de Partage de la Valeur (PPV) :
De 700 € pour les salaires entre 2 et 3 SMIC (entre 40 116 € et 60 174 € brut annuel)
De 800 € pour les salaires inférieur à 2 SMIC (inférieur à 40 116 € brut annuel)
Versement de la PPV en février ou mars pour tous les salariés actifs et encore inscrits dans les effectifs sur les 12 derniers mois. Cette prime sera versée aux salariés en mi-temps thérapeutique ou en longue maladie.
Un talon fixé à 110 €, qui aura un effet positif pour les salaires brut inférieurs à 2200 €.
Une augmentation minimum garantie de 4% pour l’année 2024 avec une clause de revoyure en fin d’année 2023 qui permettra également de déterminer la valeur de la Prime de Partage de la Valeur pour l’année 2024.
La valeur du point d’ancienneté revalorisée au minima à 5,19 % pour tous les sites. Revalorisation de la promotion pour les cadres hors changement de position automatique qui passe de 3% minimum à 5% minimum.
Ouverture de négociations sur un accord concernant la prime de transport pour les sites de Rodez, Juvincourt et Sofia-Antipolis. La négociation devra être terminée avant fin mars avec effet rétroactif au 01.01.2023.
2 jours de congés pour le PACS d’un enfant au même titre que pour le mariage.
Nous avons appris le vendredi 17 février 2023 que sans signature majoritaire de cet accord NAO 2023, la direction RBFR ferai une proposition unilatérale à seulement 4,5 % d’augmentation générale sans prime de PPV et sans talon.

Voici à quoi est réduit le dialogue social chez BOSCH !!!

 

Bilan 1ère réunion NAO

Les Organisation Syndicales ont proposé en intersyndicale une augmentation de 9% pour la période des NAO 2023 sur 12 mois.

Après un jour de réunion, la Direction a proposé le 27/01/23 : 9% d’AG sur 24 mois ! (5% en 2023 et 4% en 2024) et une prime Macron (PPV)  :

Qu'en pensez vous ?  NAO : sur 12 ou bien 24 mois ?

Sur la proposition d’un accord de revalorisation des salaires sur 2 ans (5% en janvier 2023 et 4% en janvier 2024), sur la durée de 2 ans êtes-vous :

Sur les pourcentages de revalorisation, les trouvez vous :

233 salariés se sont exprimés, rejetant la proposition d’augmentation de la direction à 5% en 2023 et 4% en 2024.

La Prime Macron (PPV) : Prime de partage de valeur (PPV) sera calculée sur les 12 mois glissants de salaire brut (prime incluse) antérieurs à la date d’application. Cette prime est exonérée d’impôt sur le revenu et de cotisations patronales (CSG/RDS)


 La Direction Bosch affirme avec force :

« Nous ne sommes pas là pour combler l’inflation » !


  • Prime de transport pour tous les sites :

La direction ne souhaite l’accorder que pour les sites de Mondeville, Moulin et Rodez. Paris et Vénissieux en sont écartés malgré notre demande (Subvention SNCF/RATP à 50%, pas plus !).

  • Pacs d’un enfant d’un salarié : 2 jours de congés accordés par la direction.

La direction refuse :

  • Participation à la mobilité verte, alors qu’elle se vante d’être neutre en carbone !
  • Augmentation participation employeur aux repas
  • Revalorisation du compte courant
  • Prise en charge de la mutuelle à 100%
  • Mise en place d’un Index égalité professionnelle par site
  • Budget de revalorisation des inégalités homme-femme

On est loin du compte : Les profits Bosch ont augmenté de 12%
La Direction nous propose seulement 5 % !
Pourtant nous ne versons pas de dividendes à des actionnaires !
2éme réunion NAO du 2 février 2023.

64 ANS C’EST NON, Tous à la manifestation mardi 31 janvier 2023 

Manifestation unitaire

#pas1jourdeplus

[MEC]

Une puissante mobilisation qui oblige au retrait

Ce 19 janvier, partout sur le territoire, plus de deux millions de travailleuses et travailleurs, et de jeunes, dont au moins 400 000 à Paris se sont mobilisé-es
mis en grève et/ou ont manifesté, dans le public comme dans le privé, contre la réforme des retraites de ce gouvernement.
Cette réforme est inacceptable et va à l’encontre des intérêts de la population. Elle ne s’y trompe pas, puisque même avant d’être dans la rue plus de 600 000 personnes ont déjà signé la pétition intersyndicale.
Les travailleuses et les travailleurs aspirent à partir à la retraite en bonne santé, et avec un niveau de retraite qui permette de vivre dignement. Le message
est très clair : le gouvernement doit renoncer à la fois à l’âge de départ à la retraite à 64 ans et à l’accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.
D’autres solutions existent, elles ont malheureusement été balayées d’un revers de main.
L’ensemble des organisations syndicales réaffirme son opposition à la réforme et sa détermination à avoir un système de retraite juste, financé aussi par un autre partage des richesses.
Afin de renforcer et d’inscrire dans la durée cette première mobilisation massive, les organisations

syndicales appellent dès à présent à une journée de grève et de manifestation interprofessionnelle.
L’intersyndicale invite la population à signer massivement la pétition, et appelle à multiplier les actions et initiatives partout sur le territoire, dans les entreprises
et services, dans les lieux d’étude, y compris par la grève, notamment autour du 23 janvier, jour de la présentation de la loi au conseil des ministres.
Elles appellent les salarié-e-s et les jeunes à préparer des assemblées générales pour discuter des poursuites de la mobilisation.
Et alors que le gouvernement appelle les organisations syndicales à être responsables et à ne pas bloquer le pays, nous réaffirmons qu’il est et sera
le seul responsable de cette situation puisque 9 travailleuses et travailleurs sur 10 rejettent cette réforme injuste et brutale.
Nous sommes unis et déterminés à faire retirer ce projet de réforme des retraites, c’est pourquoi l’intersyndicale appelle à une nouvelle journée de grèves et de manifestations interprofessionnelles le 31 janvier. L’intersyndicale se réunira le soir même.

Nous sommes plus de 700 000 à avoir signé la pétition pour
dire non à cette réforme injuste et brutale. Rejoignez-nous :

Sondage NAO 2023

Vos représentants Cfdt ont besoin de votre aide pour définir vos besoins en préparation des NAO (Négociations Annuelles Obligatoires).

Voici un sondage qui nous permettra de récolter votre avis.
Plus de 400 réponses en un  jour !

Le sondage est bien entendu confidentiel.

Vous avez été très nombreux à répondre au sondage NAO 2023 !

450 réponses au sondage électronique
150 réponses au sondage papier

Soit 600 réponses reçues à ce jour !
La Cfdt Bosch France vous remercie pour votre participation.

Voici une analyse de vos réponses :

En moyenne, les salariés Bosch souhaitent 7,5 % d’augmentation !

Nous pouvons remarquer que les salariés les plus jeunes réclament la plus forte augmentation de salaire.

Réforme des retraites, Manifestation du 19 janvier 2023

Le Gouvernement vient d’annoncer officiellement que les Français et Françaises devront désormais travailler jusqu’à 64 ans !

POUR LA CFDT, CELA A TOUJOURS ÉTÉ NON !

Cette mesure est brutale et profondément injuste. Elle va contraindre des millions de personnes à travailler plus, sans gagner plus. Ce sont les salarié·es qui ont commencé à travailler tôt et/ou qui ont souvent des carrières modestes qui vont payer le prix de cette réforme. Pire, il n’y a pas de problème dramatique de financement de notre système de retraites qui justifie une telle mesure.

Concrètement, cela signifie :

  • Né·es en 1961 > 3 mois de travail en + pour rien !
  • Né·es entre 1962 et 67 > de 6 à 21 mois en + pour rien !
  • Né·es en 1968 et plus > 2 ans de travail en + pour rien !

LA CFDT APPELLE À LA MOBILISATION
POUR DIRE HAUT ET FORT : 64 ANS C’EST NON !

Retrouvez toutes nos revendications
pour une réforme des retraites juste et solidaire sur :
https://cfdt.fr/reforme-des-retraites
RENDEZ-VOUS LE JEUDI 19 JANVIER 2023
Pétition contre la mesure d’âge !

Communiqué intersyndical

Retraites : première journée de mobilisation le 19 janvier 2023

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.
Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.
Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Attachées à un meilleur partage des richesses, les organisations syndicales n’ont eu de cesse pendant la concertation avec le Gouvernement de proposer d’autres solutions de financement, à commencer par l’amélioration de l’emploi des seniors. Jamais le gouvernement, arc-bouté sur son projet, ne les a étudiées sérieusement.
Suite à l’annonce de la réforme gouvernementale, toutes les organisations syndicales se sont immédiatement réunies pour construire une réponse commune de mobilisation interprofessionnelle. Celle-ci prendra la forme d’une première journée de grèves et de manifestations le 19 janvier 2023.
Parce qu’elles représentent l’ensemble des travailleurs et des travailleuses, demandeurs et demandeuses d’emploi, et retraité.es, c’est cette date syndicale qui donne le départ d’une puissante mobilisation sur les retraites dans la durée.
Elles décident d’ores et déjà de se réunir le 19 janvier au soir avec les organisations de jeunesse pour prolonger le mouvement de mobilisation et convenir d’autres initiatives.
Les organisations syndicales appellent les salarié.es à se mobiliser fortement dès cette première journée dans l’ensemble du territoire et à participer aux différentes initiatives organisées en intersyndicale.
Paris le 10 janvier 2023

Résultat du sondage du 03/11/22

Merci à tous et à toutes pour vos nombreux retours.
Pour ce sondage, nous avons eu un très bon retour au-delà des 30% de l’effectif de Drancy !

Pour la question sur les idées d’utilisation(s) des réserves du CSE votre choix s’est porté sur :

  • En 1er : La subvention pour les voyages personnels
  • En 2ème : Plus de chèques vacances et cartes cadeaux
  • En 3ème : Subvention au permis deux roues

Pour la question : « A la vue de la situation inflationniste, quelle valeur de revalorisation des salaires pensez-vous être juste ? »
 La moyenne de vos réponses a été : 7,31%

Un autre sondage vous sera proposé en vue des futures Négociations Annuelles sur les salaires (NAO)

Les négociations débuteront mi-Janvier 2023

Nous sommes vos représentants et nous comptons sur vous pour nous donner vos retours

Une équipe soudée, présente, active et à votre écoute